Le Parti socialiste veut pénaliser l’information équilibrée sur l’avortement

107 Comments

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  Charlotte M. , 1 octobre 2013 @ 17 h 53 min

  Et moi j’ai deux cousins qui ont été adoptés, et dans mon enfance, ma meilleure amie était une enfant adoptée…
  J’ai aussi croisé plus tard des adultes qui avaient été adoptés tout petits…
  Tous, parfaitement HEUREUX, comme leurs parents !!!!
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  Robert , 1 octobre 2013 @ 22 h 45 min

  MP,
  Laissez des provocateurs faire leur besogne, ne leur faites pas plaisir en réagissant.
  Les militants invertis font la démonstration de leur orgueil et de leur mépris de la dignité humaine mieux que toute démonstration de notre part. Pardonnez-leur et avancez en les ignorant.
  Fraternellement, un militant pro-vie.
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  Dōseikekkon , 2 octobre 2013 @ 1 h 06 min

  Pour que les choses soient bien claires, il ne s’agit nullement d’un article scientifique que Robert nous cite, mais d’une tribune que ces trois-là ont fait paraître dans Libération le 9 mars 2012 (Faut-il s’inquiéter du recours à l’avortement des jeunes ? Oui !).
  Car voici ce qui advint : le trio Nisand-Letombe-Marinopoulos a co-signé un bouquin (Et si on parlait de sexe à nos ados ?, Odile Jacob, 2012) – à l’époque rapport destiné à Jeannette Bougrab – dans lequel ils ont eu l’imprudence d’affirmer des choses telles que « les femmes ayant avorté auraient un risque de suicide multiplié par quatre et un risque accru de troubles dépressifs et anxieux ».
  Or il se trouve que la littérature scientifique disponible montre plutôt le contraire, et que l’étude particulière sur laquelle ils s’appuyaient présente des problèmes de méthodologie et est contestée…

  Ce qui devait arriver arriva : dans une tribune de Libération (Faut-il s’inquiéter du recours à l’avortement chez les jeunes ?, 1er mars 2012) une démographe, une sociologue et trois médecins épidémiologistes (Bajos, Ferrand, Meyer, Moreau, Warsawski) ont jugé utile de signaler la supercherie.
  C’est ainsi que, en réponse à ces cinq-là, notre trio a fait paraître la réponse reproduite par Robert ci-dessus, en substituant à leurs prétentions scientifiques initiales – puisque l’épidémiologie et les statistiques leur donnent tort – quelque chose de plus « sentimental » et subjectif : leur expérience clinique.

  Maintenant rien ne les empêche de mettre au point une enquête statistique, sur une population représentative, avec groupe-témoin, etc., et dont ils publieront la méthodologie et les calculs dans un journal à comité de lecture, permettant ainsi à la communauté médicale d’apprécier la valeur de leur démarche.

  Jusqu’à preuve du contraire donc, un papier émotionnel dans Libé n’a pas force de science.

  N. B. : le papier de Nisand-Letombe-Marinopoulos a lui-même été suivi d’une réponse, de la part de médecins et de gynécologues.
  http://www.liberation.fr/societe/2012/03/20/nul-n-a-le-monopole-de-la-parole-des-femmes_804224
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  Dōseikekkon , 2 octobre 2013 @ 1 h 11 min

  Votre Dr Dor, c’est bien ce repris de justice qui vient d’être encore condamné en septembre à 10 000 € d’amende, et aussi à 2000 € de dommages & intérêts pour avoir agressé une femme ?
  (« Pression morale et psychologique », « actes d’intimidation », selon le Parquet ; la victime a déclaré que sa rencontre avec Dor « était d’une violence inouïe ».)
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  Dōseikekkon , 2 octobre 2013 @ 1 h 29 min

  Et, contrairement à ce qu’en dit Robert (qui fait une petite fixation sur les « invertis »), ils sont sans doute nombreux les couples de femmes ou d’hommes qui seront tout prêts à adopter et choyer de petits enfants accouchés sous X.
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  Auditeur Libre , 2 octobre 2013 @ 2 h 20 min

  Tiens !
  Le clavier niais qui jappe , le JAPPO NIAIS, émarge ce soir aux frais de Tante Bergette …
  Elle-il se colle et se recolle des 5/5, sa prime de nuit en dépend …
  Minou, minou, minou, viens, viens … viens prendre ta pâtée…
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  Auditeur Libre , 2 octobre 2013 @ 2 h 20 min

  Tiens !
  Le clavier niais qui jappe , le JAPPO NIAIS, émarge ce soir aux frais de Tante Bergette …
  Elle-il se colle et se recolle des 5/5, sa prime de nuit en dépend …
  Minou, minou, minou, viens, viens … viens prendre ta pâtée…

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