Le Parti socialiste veut pénaliser l’information équilibrée sur l’avortement

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  • MP , 30 septembre 2013 @ 18 h 21 min

    Un amas d’une centaine de cellules un embryon de 12 semaines (40g, 10cm) ? Cheveu, verrue ?
    Quelle ignorance (crasse) ou mauvaise foi (éhontée)… Quel mépris de l’homme (semblable) et du faible/petit (innocent)…

    Je pourrais vous indiquer des vidéos (Odyssée de la vie par exemple ou The Silent scream) et bien d’autres supports d’information, mais vraisemblablement vous ne voulez pas (sa)voir…

    Je me demande si l’addition le jour venu ne sera finalement pas plus salée pour vous que pour moi, qui ai pourtant commis ce crime gravissime jeune fille, mais sans en mesurer vraiment pleinement le sens et qui le regrette amèrement maintenant. Internet n’existait pas encore mais je suis persuadée qu’il aurait suffi d’une simple échographie pour m’empêcher de procéder à cet infanticide. A fortiori si j’avais su clairement en quoi consistait l’IVG concrètement (cf. the Silent Scream par exemple) et les risques de traumatisme physiologique et donc de dysfonctionnement futur que j’encourais (dystocie cervicale à l’accouchement). Bref, il m’aurait suffi de (vraiment) (sa)voir pour m’auto-censurer. J’aurais pleinement compris alors l’horreur (criminelle) de l’IVG.
    Bien sûr, savoir tout cela avant de me trouver enceinte m’aurait aussi je pense clairement passé l’envie de négliger ma contraception (pilule), voire même d’avoir une sexualité si légère, sans projet, si jeune. Tout cela put l’égoïsme et l’irresponsabilité.
    J’ai heureusement fini par réaliser mon crime, un parmi les 200’000 commis chaque année en France depuis quarante ans. Je peux maintenant regretter et expier.

  • Dōseikekkon , 30 septembre 2013 @ 18 h 30 min

    Le kkon vous informe que le substantif effluve est du genre masculin…

    Bonjour chez vous !

  • Dōseikekkon , 30 septembre 2013 @ 18 h 33 min

    Pfff… vous mélangez tout !
    Ce n’est pas une échographie de trois semaines qu’on vous a montrée, mais Alien !
    (Dans l’espace personne ne vous entendra crier…)

  • Pierre ghi , 30 septembre 2013 @ 20 h 27 min

    Tartes à la crème, il va de soi !

  • Robert , 30 septembre 2013 @ 21 h 56 min

    Voilà ce qu’ont écrits trois partisans de l’avortement, dont deux avorteurs;
    “Israël Nisand et Brigitte Letombe ainsi que la psychanalyste Sophie Marinopoulos ont publié en mars 2012 une tribune dans Libération pour rappeler que bien qu’ils soient défenseurs de l’IVG dès la « première heure », ils ne voulaient pas laisser dire n’importe quoi ! Ils fustigent littéralement la tendance actuelle qui voudrait faire croire que le recours à l’IVG n’aurait aucune incidence sur la vie des femmes :

    “Nous ne pouvons pas laisser dire que les femmes qui y ont recours ne sont pas marquées, d’une façon ou d’une autre, par cette expérience. Nous voyons chaque jour dans nos consultations des femmes qui nous disent leur souffrance psychologique et leur mal-être parfois de nombreuses années après, alors qu’elles auraient pu «cocher» lors d’un sondage que «tout allait bien». La souffrance ne se coche pas, elle se parle ! Sauf à ne considérer les femmes que dans le registre physique, sauf à omettre leur vie psychique, on ne peut pas écrire que l’accouchement présente un plus grand risque que l’IVG.

    Cette posture, qui date de la médicalisation de l’IVG en France, revient à dire que l’avortement n’a aucune conséquence dans la vie d’une femme. Certes elles ne meurent plus ; certes les cases à cocher ne montrent plus de complications, mais tous les cliniciens qui rencontrent des femmes savent qu’il s’agit là d’un vrai négationnisme : il s’agit de dénier le fait qu’une IVG peut marquer douloureusement une vie. Nous n’avons jamais rencontré de femmes pour qui l’avortement a constitué «un événement fondateur de leur vie d’adulte» et nous ne voyons pas quelle étude statistique permet d’affirmer cette énormité. (…) La santé ne se réduit pas au corps mais concerne aussi la santé psychique qui échappe si souvent aux froides analyses statistiques.

    Nous, cliniciens favorables aux droits des femmes à interrompre une grossesse et à avoir une sexualité sans risque de grossesse non voulue, nous n’acceptons pas pour autant la banalisation de l’IVG. (…) Nous proposons de ne plus ignorer les difficultés psychiques des femmes qui ont subi une IVG et de tout faire pour prévenir cet événement d’autant plus indésirable qu’il se produit tôt dans la vie des femmes, épargnant toujours les garçons si peu initiés à leur vraie responsabilité.”

    Pour ce qui est des prétendues assertions sur ce sujet, chacun est capable de s’informer s’ils souhaite réellement le faire. Je ne vois aucun intérêt à essayer d’échanger avec des interlocuteurs visiblement obsédés pour insinuer, sortir des affirmations allant dans leur sens, alors qu’il en existe autant allant dans l’autre sens, pour sortir des âneries sur la vie in utéro digne d’un blog d’adolescent abruti par la pensée unique.
    Qui veut savoir peut savoir sans trop d’effort la vérité scientifique sur la vie in utero et la réalité de l’avortement. Qui refuse, tout en prétendant chercher la vérité attitude courante chez les invertis moraux, ne recevra pas vos arguments. Il ne veut qu’insinuer, perturber l’échange, laisser penser que les avis sont partagés sur ces principes, sans apporter d’arguments.
    Evitez de leur répondre, vous excitez leur désordre et flattez leur ego narcissique.

  • Charlotte M. , 1 octobre 2013 @ 14 h 17 min

    Leur but est en fait, à terme, d’interdire toute manifestation contre l’avortement. C’est dans leurs projets depuis l’élection de Hollande.
    Je le sais de source sûre, directement par une personne qui travaille dans un ministère.

    Il faut ABSOLUMENT :

    – aller aux manifs déclarée à chaque fois que l’on peut (à Paris, il y en a régulièrement, et il y en a aussi en province ! ) ;
    – sur internet, faire la promotion de tous les sites pro-vie;
    – soutenir financièrement le Dr Dor (on peut ne verser que quelques euros, si on est très pauvre), sur la page ci-dessous, ainsi que d’autres personnes/associations pro-vie, si vous en avez les moyens;
    – à chaque fois que vous sentez que c’est possible, surtout auprès des jeunes, expliquer l’horreur de l’avortement, leur donner des adresses de sites pro-vie qui en parlent concrètement (selon leur âge, vous pouvez éventuellement montrer des photos, çe ferait réfléchir n’importe qui ! ), avec des témoignages, leur donner des exemples de couples de tous âges HEUREUX, ou de femmes mères célibataires HEUREUSES, qui ont eu leur(s) enfant(s) “trop tôt” soi-disant, ou “trop tard”, en étant pauvres, etc, et qui se réjouissent tous les jours d’avoir “gardé” leur bébé… Leur parler aussi des adoptions, de l’accouchement sous X, en essayant de leur montrer des témoignages d’enfants (ou anciens enfants devenus adultes, c’est encore mieux ! ) adoptés.
    Et TOUJOURS RAPPELER QU’AUCUNE CONTRACEPTION N’EST “EFFICACE” A 100%, même parfaitement utilisée (les cas de grossesse sous pilule prise sans aucun oubli, notamment, sont assez nombreux) .
    Mais le mieux, pour les jeunes surtout, étant bien sûr d’avoir un bon exemple de leurs parents… et l’éducation…
    (les parents ne devraient pas hésiter à dire à leurs enfants adolescents “Je n’ai pas eu de relations sexuelles avant l’âge adulte, et franchement, je ne le regrette pas ! Et quand on aime l’autre, c’est forcément mieux… Le sexe sans amour sincère et sans aucun engagement de couple, ce n’est pas du tout épanouissant et ça se finit toujours mal”… Oui, pas forcément facile à dire à ses enfants adolescents, mais pensez au fait que des adolescentes “très bien” éduquées se font avorter en cachette de leurs parents, puisque maintenant c’est possible… Donc, tout parent devrait faire de la prévention active de l’avortement auprès de son enfant adolescent(e), FILLE OU GARCON, pour contrer le discours pro-avortement omniprésent dans tout ce qui est dirigé vers les jeunes; eh oui, parents, vous ne savez pas avec qui votre ado parle au collège/lycée et en dehors, vous ne savez pas sur quels sites il/elle va, quelles radios il/elle écoute, etc., qui elle/il fréquente exactement… Et ne vous fiez pas à l’appellation “catholique” de la plupart des écoles catholiques !!! Ni à beaucoup de gens qui se disent “catholiques” mais qui sont pro-avortement !!!!!! Il y a même des femmes “catholiques” qui avortent, des hommes “catholiques” qui les y poussent… Quasiment toute notre société actuelle est devenue pro-avortement… TOUT(E) adolescent(e) entend FORCEMENT un jour un discours pro-avortement… Donc, commencez une éducation “pro-vie” dès que votre enfant est en âge de comprendre “les choses de la vie”, et parlez plus concrètement de l’horreur de l’avortement dès le début de l’adolescence, en vous adaptant à l’âge et à la sensibilité de votre enfant… Ou faites-vous aider en cela, car cela peut être difficile, auprès de jeunes adolescents…)

    Soutien financier au Dr Dor, aucun montant minimum exigé :
    (cliquez sur “Participer”, sous le pot bleu)

    https://www.lepotcommun.fr/pot/YMqwUv5e

  • Charlotte M. , 1 octobre 2013 @ 17 h 50 min

    Pareil pour moi ! Merci Robert pour votre excellent commentaire !

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