Après tout ce qu’il lui a fallu subir depuis plus de vingt-cinq ans quant à sa relation avec un ado, dans une ville de province.. puis sur leur différence d’âge, notre redoutable Macronella a le cuir épais. S’emporter contre les stupidités de Bolsonaro ou d’autres à son endroit revient à lui dénier intelligence et défense. C’est un peu vite oublier que c’est elle qui a fini d’élever le Manu jusqu’à nous en faire un président de la République.
Qu’on la dise vieille et moche, Macronella s’en fout! Elle sait bien que dans quatre ans, elle aura soixante-dix ans. Elle sait qu’elle porte des perruques et que ça se voit. Elle sait qu’elle est archi-maquillée et que cela ne peut que se remarquer. Ce sont ses choix lesquels, a l’instar d’autres, prouvent combien, c’est une femme libre, totalement indifférente aux regards et dires des autres.
Manu a été stupide de répliquer au Brésil, silence et mépris furent bien meilleure réponse, d’autant plus que Jaïr avait mal choisi son moment pour ricaner… Fraîchement liftée, à Biarritz, Macronella affichait avec superbe vingt de moins.
Certains encensent Macronella, louant sa beauté et son élégance, d’autres la dénigrent disant qu’elle a tellement la tête dans les épaules qu’elle ressemble à un singe et qu’est mal habillée car inhabillable avec ses grandes épaules, etc. et on ne pourra rien y changer.
Etre outré, voler à son secours à la moindre critique revient à la réduire à l’état de pauvre petite chose décervelée. En exposant sa longue vie sentimentale avec le Manu, en s’exposant aussi en détail et en se prêtant au jeu des médias, Macronella sait très bien ce qu’elle fait et ce qu’elle veut nous vendre.
En général, il s’agit du génie et des exploits de son petit Manu, à Espelette, ce furent des piments et autres spécialités locales.
Espérons qu’en bon VRP, elle aura fait exploser certains CA régionaux pour compenser les très lourdes pertes des commerçants de Biarritz, de la ville et de la région engendré par le dernier caprice de Manu avec un G7 de pacotille pour le fond mais plus que mégalo-fastueux pour la forme.
Sybilline Bavastro