Pour le Père François Euvé s.j., l’invasion migratoire arabo-musulmane doit être préférée à la défense de la famille traditionnelle

Dans Le Point, le Père François Euvé s.j., directeur de la revue Études, déclare :

On ne peut pas mettre sur le même plan l’option du Parti socialiste sur le mariage pour tous, par exemple, et les positions du FN sur la question de l’immigration, à mon sens.

Avec des chrétiens pareils, la France va devenir gay ou musulmane. Pour le bien de la France, n’écoutons pas le Père François Euvé s.j. (que nous invitons à mettre un col romain et à se faire appeler “Père”, l’enfouissement des années 70, c’est fini…).

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52 Comments

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  • marie france,sorti des drapeaux , 29 août 2015 @ 15 h 59 min

    VOUS ËTES UN SINISTRE SALOPARD VOUS VOUS DÏTES CHRETIEN VOUS AIMEZE VOS MUSULMANS ET VOUS HAISSEZ LES PIEDS NOIRS ????? VOUS VOUS CONTREDISEZ ON AIME TOUT SON PROCHAIN HORS VOUS VOUS FAÏTES LE TRI PAUVRE FOU

  • marie france,sorti des drapeaux , 29 août 2015 @ 16 h 07 min

    A M onsieur Martin ,comment pouvez vouz laisser diffuser sur votre blog une vidéo ,ou un speudo algérien ,salit la France avec les mensonges qu’ils racontent sur les Français ,Prenez 5 mn Monsieur Martin pour écouter les horreurs que ce type se faisant appeler soi- disant andré ,prend un malin plaisir à mettre et remettre sur votre blog,merci

  • Pierre 17 , 29 août 2015 @ 21 h 02 min

    Voici fort longtemps qu’une grande partie des jésuites a perdu la foi. Ces individus ont apostasié ; demain, ils seront encore plus spectaculaires qu’aujourd’hui !

  • tetene , 29 août 2015 @ 21 h 22 min

    en y regardant d’un peu plus près, les grands thèmes socialistes (générosité, égalité, redistribution,etc…) sont ceux de l’église catholique. Pas étonnant que
    certains petits mentaux de la hierachie catholique reprennent à leurs comptes les slogans socialistes.
    A ce titre ce sont des concurrents pour les socialistes et ces derniers combattent le catholicisme en promouvant l’islam: cqfd

  • xrayzoulou , 29 août 2015 @ 22 h 30 min

    Honte à vous monsieur : je ne veux ni ne peux vous appeler père avec de tels discours.
    Je prie pour que vous reveniez à la raison. Même DIEU ne doit pas être d’accord avec vous.

  • Anne Lys , 29 août 2015 @ 22 h 30 min

    Entièrement d’accord avec presque tout votre texte : on ne peut se dire Chrétien si l’on ne pense pas que Dieu doit être premier servi, si l’on pense, comme hélas certains évêques et cardinaux, que le monde (et par ce mot ils entendent bien la société telle qu’elle est, dont le Christ nous a dit qu’elle était sous la domination du Malin et non le monde créé par Dieu et qu’il a tant aimé qu’il a donné son Fils pour le sauver) a beaucoup progressé moralement par rapport au Christ dont les paroles, rapportées par l’Évangile, sont entièrement dépassées, si l’on refuse de respecter la vie de tout être humain, de la conception à la mort naturelle, et que l’on sacrifie des humains par avortement ou euthanasie pour avoir une vie plus confortable.

    Moins d’accord avec votre phrase sur les femmes : bien sûr, je n’accepte absolument pas l’avortement. Mais je ne crois pas que la place de la femme soit toujours « à la maison ». Une bonne mère ne préfère pas, bien sûr, sa « liberté » ni son travail à ses enfants. Mais il est heureusement possible, avec beaucoup d’efforts et de fatigue, de mener de front un travail d’ailleurs rendu indispensable par le fait que le salaire paternel ne suffit pas toujours à nourrir la famille, et une présence attentive auprès des enfants aux moments où ils en ont le plus besoin.

    D’ailleurs, ne vous faites pas d’illusions et ne croyez pas que « c’était mieux avant » : les femmes fortunées ne s’occupaient pas toujours de leurs enfants et les femmes des familles pauvres travaillaient, aux champs ou dans l’atelier familial, autant et plus que les femmes qui travaillent aujourd’hui : elles n’avaient pas plus de temps à consacrer à leurs enfants qu’aujourd’hui une salariée ou une femme chef d’entreprise, sans doute moins…

    Une femme heureuse dans son travail, ou simplement heureuse de contribuer aux nécessités, ou même au bien-être de la famille, a souvent l’esprit plus libre pour s’occuper de ses enfants qu’une femme qui se sent frustrée d’être confinée à la maison (ce qui, je vous le concède, n’arrive guère plus qu’aux Musulmanes, dont je n’ai pas l’impression que les enfants soient particulièrement bien élevés).

  • Anne Lys , 29 août 2015 @ 22 h 57 min

    L’accueil de l’étranger est une obligation du Juif et du Chrétien, mais les obligations qu’il entraîne sont clairement définies dans l’Ancien Testament et n’obligent pas à assurer à toute personne qui, sans s’y être invitée, veut venir vivre dans votre pays, la couverture de tous ses besoins et de ceux de ses descendants jusqu’à la fin des temps, sans aucune obligation de leur part.

    Il faut assurer à l’étranger qui se trouve entièrement démuni, la couverture de ses besoins essentiels, nourriture, vêtement, abri contre les intempéries, parce que n’ayant pas de soutiens naturels dans un pays qui n’est pas le sien, il peut manquer du nécessaire. On doit d’autre part lui épargner mépris, insultes, mauvais traitement. Pas plus.

    Et il s’agit d’une obligation personnelle : on ne peut l’imposer à autrui.

    D’où il découle qu’un État, qui a pour première obligation d’assurer le bien-être du peuple, ne peut imposer à celui-ci de s’appauvrir pour donner à l’étranger plus que ce strict nécessaire. La loi doit protéger l’étranger contre les abus, non le privilégier par rapport au peuple du pays.

    Au demeurant, et jusqu’à ce que le Christ ordonne de baptiser toutes les nations, les Juifs n’avaient pas le droit de fréquenter les étrangers, même “craignant Dieu : le centurion Corneille était pourtant « pieux et craignant Dieu, ainsi que toute sa maison ; il faisait de larges aumônes au peuple et priait Dieu continuellement ». Et pourtant saint Pierre pensait qu’il « est illicite pour un juif de se lier avec un étranger ou d’entrer chez lui » et n’a osé se rendre chez lui qu’après en avoir reçu l’ordre dans une vision (Actes, 10, 1-2, 10-15, 28-29).

    Néanmoins, les premiers Chrétiens, dont les « bonnes âmes » pensent suivre les traces, réservaient leurs aumônes à leurs frères Chrétiens (tout en respectant leurs obligations de secours pour les étrangers démunis) et saint Paul leur rappelait d’ailleurs que l’on ne doit pas se ruiner pour assurer à celui qui est dans le besoin plus que le nécessaire.

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