Daphné Roulier vomit sur le christianisme

Dans la rubrique “Le Dictateur” (“À quoi ressembleraient nos vies si on lui confiait le pays ?”) du gratuit Stylist de jeudi 20 juin, Daphné Roulier, qui présente le JT de 20h30 sur D8 après avoir pigé pour Le Figaro puis travaillé à LCI et Canal +, se lâche sur le christianisme, et sur le christianisme seulement : “Seront passibles de châtiments corporels, le port du costard-cravate gris souris, la chemise pour homme avec plein de boutons sur le col, ainsi que toutes les variations de soutanes”. Manifestement satisfaite de sa petite sortie, elle enfonce le clou : “Opium, d’Yves Saint Laurent, sera la nouvelle religion, afin que le peuple puisse enfin y avoir accès. Une fois parfumé, je suis sûre qu’il oubliera l’odeur d’eau croupie qui émane de tant de bénitiers. Et dans tous les lieux de culte, je ferai apposer un écriteau : ‘Prière d’aérer.’ » Classe…

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185 Comments

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  • monhugo , 30 juin 2013 @ 13 h 19 min

    Votre “divorcé-e-s” est très révélateur du jargon obligé LGBT… J’aurais écrit pour ma part : “divorcés” – le masculin l’emportant sur le féminin, en grammaire (dans la vie courante, être femme n’a jamais été une raison de m”‘écraser”, vous vous en doutez, car pour moi, l’intelligence, les compétences et les qualités diverses – ou les défauts ! – cela n’a pas de sexe). Il vous arrive de dire des choses sensées, et je n’hésite pas à le souligner. Mais là… Sur ce qu’il ne faut pas confondre : éducation et filiation, justement. L’éducation n’a aucune légitimité juridique à valoir filiation, contrairement à la doxa LGBT, traduite complaisamment par les idéologues qui nous “gouvernent” en dispositions législatives et réglementaires aberrantes.

  • monhugo , 30 juin 2013 @ 13 h 21 min

    L’homosexualité n’a rien à faire en droit civil. Un point, c’est tout.

  • monhugo , 30 juin 2013 @ 13 h 24 min

    Je ne sais si je pense “bien”, mais je pense. Je doute que cela soit votre cas. Veiller à la grammaire, à l’orthographe etc. (morphologie..) c’est un devoir en ces temps où tout le monde (ou presque) écrit avec ses pieds.

  • monhugo , 30 juin 2013 @ 13 h 25 min

    “Hâtées” est admirable !

  • Louis A. F. G. von Wetzler , 30 juin 2013 @ 13 h 34 min

    Pat il faut se souvenir qu’en Rome le mariage a été toujours entre un homme et une femme, Je vous donne un exemple du Droit Romain.

    MATRIMONIUM. On appelle le mariage romain Justae Nuptiae, Justum Matrimonium, Legitimum Matrimonium, quand il est conforme au Jus Civile ou à la loi romaine. Un mariage était Cum conventione uxoris in manum viri, ou sans cette conventio. Dans les deux cas il doit y avoir connubium entre les parties et consentement : l’homme doit également être pubes, et la femme viri potens. Les conséquences légales du pouvoir du père sur ses enfants étaient les mêmes dans tous les deux cas. En opposition avec le Legitimum Matrimonium il y avait le Matrimonium Juris Gentium.

    On peut d’abord considérer le mariage romain selon les conditions exigées pour un Justum Matrimonium ; ensuite selon les formes du mariage ; enfin en examinant ses ses conséquences légales.

    LE CONNUBIUM

    Sans connubium il ne peut y avoir de mariage romain. Le Connubium est défini par Ulpien (Frag. v.3) comme “uxoris jure ducendae facultas”, ou la possiblilté pour une homme de faire d’une femme son épouse légale. Mais en vérité ce n’est pas du tout une définition et cela ne fournit aucune information. Connubium est simplement un terme qui inclut toutes les conditions d’un mariage légal. En conséquence, le terme est expliqué par des exemples particuliers: “les citoyens romains,” dit Ulpien, “ont le connubium avec les citoyennes romaines (Romanae cives); ils l’ont avec des Latinae et des Peregrinae uniquement avec autorisation. Avec des esclaves il n’y a aucun connubium.”

    Parfois on examine le connubium, qui est la faculté de contracter un mariage romain, en regardant une de ses conséquences les plus importantes, à savoir la Patria Potestas: “parce que,” dit Gaius, “puisque l’effet du Connubium conduit les enfants à suivre l’état de leur père, il en résulte que quand il y a Connubium, les enfants deviennent non seulement des citoyens romains, mais aussi ils sont sous l’autorité de leur père.” D’une façon générale, on peut affirmer qu’il y avait seulement de connubium entre citoyens romains: les cas où l’un des deux n’était pas citoyen romain étaient des exceptions à la règle générale. À l’origine, ou du moins à une période de la République, il n’y avait aucun Connubium entre patriciens et plébéiens ; mais ceci changea grâce à la Lex Canuleia qui permit le Connubium entre les personnes de ces deux classes.

    Dans beaucoup de cas, il ne pouvait y avoir de connubium avec une personne précise, qui pourtant pouvait avoir ce connubium avec d’autres personnes. Ainsi il y avait de divers degrés de consanguinité qui empêchaient tout connubium. Il n’y avait pas de connubium entre parent et enfant, si la parenté était naturelle ou par adoption ; et un homme ne pouvait pas épouser une fille adoptée ou une petite-fille, même après l’avoir émancipée. Il n’y avait pas de connubium entre frères et soeurs, de sang ou de demi-sang ; mais un homme pouvait épouser une soeur par adoption après son émancipation, ou après sa propre émancipation. Il devint légal d’épouser la fille de son frère après que Claude eut montré l’exemple en épousant Agrippine ; mais cette règle n’est restée que théorique, et au temps de Gaius il restait illégal qu’un homme épouse la fille de sa soeur.

  • Eric Martin , 30 juin 2013 @ 14 h 15 min

    Il y a de l’eau bénite et des bénitiers chez les musulmans et les juifs ?

  • papy , 30 juin 2013 @ 15 h 33 min

    Encore une grosse abrutie pour ne pas sombrer dans la vulgarité qui veut que l’on parle d’elle. Sans aucun intérêt.

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