Daphné Roulier vomit sur le christianisme

Dans la rubrique “Le Dictateur” (“À quoi ressembleraient nos vies si on lui confiait le pays ?”) du gratuit Stylist de jeudi 20 juin, Daphné Roulier, qui présente le JT de 20h30 sur D8 après avoir pigé pour Le Figaro puis travaillé à LCI et Canal +, se lâche sur le christianisme, et sur le christianisme seulement : “Seront passibles de châtiments corporels, le port du costard-cravate gris souris, la chemise pour homme avec plein de boutons sur le col, ainsi que toutes les variations de soutanes”. Manifestement satisfaite de sa petite sortie, elle enfonce le clou : “Opium, d’Yves Saint Laurent, sera la nouvelle religion, afin que le peuple puisse enfin y avoir accès. Une fois parfumé, je suis sûre qu’il oubliera l’odeur d’eau croupie qui émane de tant de bénitiers. Et dans tous les lieux de culte, je ferai apposer un écriteau : ‘Prière d’aérer.’ » Classe…

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185 Comments

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  • Banro , 29 juin 2013 @ 23 h 08 min

    Jusqu’à présent j’estimais A. de Caunes, comment a-t-il pu épouser une connasse pareille !

  • JSG , 29 juin 2013 @ 23 h 08 min

    Une si jolie personne qui s’exprime comme un charretier…

  • Banro , 29 juin 2013 @ 23 h 10 min

    Moi, je dirais connasse !

  • hermeneias , 29 juin 2013 @ 23 h 45 min

    Allo Yaki ?

    Ya quelqu’un ? Ou ya personne ?

    Ecoutez bien Yaki je vois parle de la “vision chrétienne du monde” , autrement dit du christianisme et de la Sagesse /Logos /intelligence révélée et incarnée qui vient conferter l’intelligence et la sagesse humaine et vous me répondez par “l’intolérance” de certains “chrétiens”…. Oui certes , peut être , “faut voir” mais vous devriez voir si , justement , vous aiguisiez votre regard et compréhension que l’on ne se situe pas au même niveau.
    “Les chrétiens” comme vous dites il y en a eu des tas dans l’histoire , des vrais et des faux et des entre les deux et “certains” chrétiens , lesquels ? , ne représentent pas LE christianisme et le Christ qui en est le fondateur indépassable . Et je crois qu’en matière de sagesse religieuse , même si ça dérange qqe part , on peut difficilement faire mieux que le Christ .
    Dans le christianisme le logos incréé vient à la rencontre de la sagesse humaine pour la porter à sa perfection .

    Quant à l’affligeante tarte à la crème de l’intolérance je répondrais par la boutade de Claudel disant qu’ “il y a des maisons pour ça” . En guise de provocation contre le ronron intellectuel du prêt à penser , je dirais que je suis intolérant pour l’intolérable….et je vous ferais remarquer l’intolérance extrême et irrationnelle des soi-disant “tolérants” .

  • Banro , 30 juin 2013 @ 0 h 40 min

    hermeneias, Je suis d’accord avec vous, mais vous feriez bien de ne pas répondre à Yaki, il n’en vaut pas le coup !

  • monhugo , 30 juin 2013 @ 1 h 08 min

    Merci ! Je n’aurai donc pas besoin de tancer cet individu (“hermeneias”) comme il le mériterait. Hugo est un mâle.

  • monhugo , 30 juin 2013 @ 1 h 39 min

    Justement si, des “commentaires”, SVP ! Vous confondez tout, avec une mauvaise foi qui le dispute à, excusez-moi, la stupidité. Je suppose que vous faites allusion au film réalisé par Jean-Jacques Zilberman, “L’Homme est une Femme comme les autres” (dont affiche, pour les pudibonds, très “olé olé”). Je ne vois aucune “christianophobie” là-dedans, sauf si vous considérez qu’un film mettant en scène deux familles juives est par hypothèse “christianophobe” (?). Ce film, pour moi plutôt réussi, a eu une suite, beaucoup moins bonne, en 2009 (“La folle histoire d’amour de Simon Eskenazy”). Antoine de Caunes n’était plus alors avec Elsa Zylberstein (ils ont vécu ensemble de 1997 à 2005), mais marié avec Daphné Roulier – rubrique “potins”. Pourtant, Elsa Zylberstein était encore au générique du film de 2009, comme son ancien compagnon (rôle-titre pour ce dernier). On peut se quitter en bons termes ! Les 2 films parlaient d’un inverti mâle (joué par de Caunes) qui avait pas mal de difficulté à s’assumer. Qui se mariait avec une femme (jouée par Elsa Zylberstein), puis en divorçait après avoir eu un fils (1er film). Suite de l’histoire 10 ans plus tard (2nd film). De Caunes est réalisateur également, et j’aurais à la limite compris que vous critiquiez un film dont il aurait été l’auteur (scénariste, metteur en scène), mais une fiction où il est acteur…. Et qui d’ailleurs (voir plus haut) n’a rien de “christianophobe”…. Décidément, quand les uns ou les autres, vous vous essayez à la critique culturelle en général, et cinématographique en particulier, c’est assez navrant. Pour moi, confondre l’homme et ses oeuvres, voire ses rôles pour un acteur, est du dernier ridicule, et la création artistique ce n’est pas du militantisme, ni du lobbying en général – s’il y a mélange des genres, cela ne peut donner que du très médiocre.

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