L’insécurité de Paris!

Quand pour une star Américaine Paris est un cauchemar, imaginez pour ses habitants !

On apprend que Scarlett Johanson, bien connue des cinéphiles, vient de déclarer que Paris est un cauchemar sécuritaire. Mariée à un Français, elle imaginait vivre dans un Paris, jadis « ville lumière ». Elle découvre, maintenant, que Paris est devenue « ville des ténèbres ». Elle ne se sent plus en sécurité. D’origine juive, la jeune femme est horrifiée par l’antisémitisme menaçant. Avec son bébé, elle décide de retourner aux Etats-Unis pour le préserver.

En même temps, aujourd’hui, 25 mai 2015, je suis informée par des voisins engagés du quartier du 18ème nord-est de Paris que, durant ce week-end, rue Pajol, des émeutes barbares entre subsahariens se sont déroulées, avec interventions « tardives » de la police. Les habitants apeurés écrivent au maire socialo, Eric Lejoindre, successeur de Vaillant, sans obtenir de réponses. Ils écrivent également à l’ectoplasme élu UMP, Jean-Yves Bournazel, dont je doute qu’il passe à l’action paré de son statut « d’opposant » . Bien entendu, les riverains se plaignent également au commissariat. Nous attendons les réactions de l’édile et du commissariat. Un autre ami de mes voisins, qui passait par là, affolé de voir que la circulation était bloquée par la barbaresque, ne dut son salut qu’à s’extraire coûte que coûte de la scène de guerre. Tout cela se déroule aux pieds d’un haut lieu touristique, le Sacré Cœur. Comme d’ailleurs, cette installation-cloaque, de tentes d’envahisseurs Soudanais, Erythréens et autres Maghrébins, illégaux, faut-il le préciser, sous le métro la Chapelle, entretenus par des associations du camp du « Bien ». Cette aire de Paris devenue un gigantesque bidonville intramuros. De ceux, manipulés par des associations gôchistes, qui viennent brailler à coups de tam-tam, devant l’Assemblée Nationale : « On est chez nous » tout aussi illégaux ! Dont on supposera que le bon Cazeneuve viendra naturaliser bien vite pour venir élargir l’électorat « d’origine » perdu à jamais. Pour se maintenir au pouvoir, ces fossoyeurs du peuple Français sont capables de toutes les infamies remplacistes, en plaçant les citoyens d’origine en situation de danger absolu. Pour la rue Pajol, pas un mot dans les médias valets.

Voici deux lettres, de deux riverains, envoyées hier au maire islamo-collabo, Eric Lejoindre du 18ème arrondissement, qui décrivent l’émeute barbare et dont je préserve l’anonymat.

Monsieur le Maire,

Ces bandes se réunissent depuis plusieurs semaines sous mes fenêtres de la rue Pajol et je confirme que ces affrontements sont violents avec barres de fer, manches de bois avec lame au bout. Hier dimanche 24 mai, ils étaient une vingtaine dans un premier temps et ensuite de plus en plus nombreux courant dans tous les sens et empêchant la circulation.

Cela devient très inquiétant pour notre sécurité, les touristes se rendant à l’auberge de jeunesse sont médusés et la police, quant elle intervient, met un temps fou à se déplacer !!

Nous avons pu le constater récemment car dans mon immeuble des personnes qui causaient régulièrement des troubles de voisinage avec de fréquentes scènes de ménage, il y a 2 semaines vers 23h les cris de la femme et ceux des enfants étaient plus qu’alarmants ont fait que deux résidents ont voulu leur porter secours et se sont fait accueillir à coups de machette par le mari. La police a mis pratiquement 1 heure pour arriver, la mari avait largement le temps de massacrer toute sa famille !! Fort heureusement il n’y a pas eu de blessé.

Il n’y a plus actuellement de tribunaux correctionnels pour mineurs de 16-18 ans, merci Mme Taubira !! Alors que l’ancien chef de l’État défendait que les adolescents de 16 ans au troisième millénaire n’avaient plus rien à voir avec ce qu’étaient les jeunes du même âge au sortir de la guerre – et devaient donc être jugés différemment -, Christiane Taubira a voulu au contraire pousser au maximum le principe de l’«excuse de minorité».

C’est donc en toute impunité que ces bandes terrorisent le quartier, sachant qu’il n’y aura pas de sanctions et pour les riverains nous n’avons plus qu’à attendre que se produise un drame pour que nous soyons entendus..

Bien cordialement,

Une habitante de la rue Pajol

Autre courrier immédiatement adressé au maire, par cet ami qui a dû s’extraire, témoin de l’émeute :

Rixes entre bandes africaines rivales rue Pajol, ce dimanche

Monsieur le Maire,

Ce dimanche 24 mai 2015 vers 18h45, de violents affrontements dont j’ai pu être témoin, ont eu lieu rue Pajol entre deux bandes armées de barres métalliques (provenant vraisemblablement de trottinettes démantibulées…) Il y avait bien une cinquantaine de protagonistes, âgés de 14 et 17 ans . La circulation a été bloquée. Les riverains étaient consternés par ce genre de spectacle, hélas de plus en plus fréquents. Force est de constater que l’ordre public n’est plus assuré face à ces bandes que le laxisme ambiant a mises dans la toute puissance. J’habite ce quartier depuis trente ans et constate avec tristesse, la déliquescence environnementale de l’espace public.

Un habitant du quartier :

PARIS VILLE LUMIÈRE N’EST PLUS, ELLE FAIT PLACE À PARIS VILLE DES TÉNÈBRES !

Lu sur Riposte Laïque

Related Articles