Comment, par exemple, distinguer un mauvais impressionniste d’un bon? Ou un Monet exceptionnel d’un Monet qui l’est moins? A l’occasion des derniers jours de l’exposition Chtchoukine, prolongée jusqu’au 5 mars, Hector Obalk, critique d’art, auteur de la série documentaire Grand’Art sur Arte et de Aimer Voir (Hazan), une introduction à l’histoire de la peinture, s’efforce de répondre à ces questions au travers de l’étude de trois tableaux de l’exposition Paysage aux ruines de Armand Guillaumin (1897), Prairie à Giverny (1888) de Claude Monet et Lilas au soleil (1873), également de Claude Monet.