Chômage : encore un échec de l’État, par Nicolas Doze

Malgré les emplois aidés, François Hollande a perdu son pari sur l’inflexion de la courbe du chômage en 2013, constate Nicolas Doze ce mardi sur BFM TV. Le Président a oublié que l’entreprise n’est pas là pour créer des emplois mais de la richesse qui, ensuite, permet la création d’emplois, explique le chroniqueur.

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5 Comments

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  • Goupille , 28 janvier 2014 @ 21 h 24 min

    Eh oui… Mais les politiciens ignorent le long terme. Ce qui les obsède, ce sont les Municipales.
    Ils espéraient maquiller. Le chômage des jeunes a baissé à coups de subventions, donc d’impôts.

    On tourne en rond.

  • charles-de , 28 janvier 2014 @ 23 h 26 min

    Nous voilà face à du “chômage Potemkine” : on a fait baisser le chômage des jeunes grâce à plusieurs dizaines de milliers d’emplois “aidés” payés environ aux 3/4 par l’Etat, càd par les impôts, donc par les CONTRIBUABLES

  • charles-de , 28 janvier 2014 @ 23 h 30 min

    … CONTRIBUABLES dont on verse l’argent dans le tonneau des Danaïdes. Est-ce cela la “réduction des dépenses publiques” ? C’est plutôt “déshabiller Pierre pour habiller Paul” !

  • baldag , 29 janvier 2014 @ 10 h 49 min

    Monsieur DOZE est rempli de bon sens.
    Lorsqu’une personne crée un entreprise, ce n’est surement pas pour créer des emplois. Elle a une idée, un projet, envie de les mettre en oeuvre pour son propre compte, envie d’être libre, envie de mieux gagner sa vie, envie de devenir riche. Elle crée donc son entreprise et seulement dans une second temps, elle embauche si besoin est.
    Il faut cesser de prendre l’entreprise pour ce qu’elle n’est pas. Elle achète simplement le travail et la compétence de personnes pour fonctionner, rien d’autre.
    Il faut être cégétiste pour avoir une autre vue que celle-ci, celle où le salarié, “c’est lui qui crée la richesse”. Personne ne nie que le salarié est la plupart du temps indispensable. Mais d’une part, tous n’ont pas envie de devenir patron, et d’autre part, tous n’en ont pas la compétence. Alors, cessons en France de regarder l’entreprise d’une manière parfaitement syndicaliste de gauche!
    Sauf à la confondre grand groupe international aux multiples actionnaires, l’entreprise ( PME) n’est pas une vache à lait. Chacune d’elle a des limites qui lui sont propres, à utilité égale. Toutes les branches d’activité ne connaissent pas la même réussite au même moment. Au cours de certaines périodes, telle branche marchera mieux et une autre moins bien, et vice et versa.
    Quelle ignorance à la française!!!

  • Alain cresp , 30 janvier 2014 @ 13 h 29 min

    Bien envoyé!!! Baldag

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