42 000 chômeurs de plus rien qu’en octobre, Myriam El Khomri appelle à la “prudence” (sic)

Il n’y a jamais eu autant de chômeur en France. Fin octobre, il y avait 3 589 800 demandeurs d’emploi, soit 42 000 de plus qu’en septembre. Le ministre du Travail, Myriam El Khomri, a appelé ce jeudi soir à la prudence à la lecture de ces chiffres. “Ces chiffres ne sont pas satisfaisants, mais ils doivent être regardés avec beaucoup de prudence (…) Ces chiffres doivent vraiment être analysés dans la durée et en tendance”, a-t-elle expliqué :

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  • André , 27 novembre 2015 @ 10 h 02 min

    l==> il y avait 3 589 800 demandeurs d’emploi l==> Prenez votre calculette et multipliez par deux et vous serez encore en dessous de la vérité. Il y a en France 15 à 20 millions d’immigrés qui ne servent à rien.

  • KAMISAN , 27 novembre 2015 @ 10 h 38 min

    Beuuurrrkkkk, !!!! vivement le 06/12/2015

  • Charles , 27 novembre 2015 @ 10 h 51 min

    Langage critique et critique du langage. Les mots sont des outils et des armes.

    Soyez gentils, ne dites plus “socialistes”
    mais dites “UMPISTES” ou les UMPS ou les zelites de l’herpes.

    A défaut, si vous tenez à la racine socialiste,
    dites “Saciolistes” ou encore “Saliofistes”.

    Dans Saliofistes,
    il y a le trois en un de “salauds” plus “salafistes”, plus “fist” de fistfucking,

    Dans le mot “socialiste” il reste le mot ” social” qui est un concept justifiable
    mais récupéré par eux, c’est donc une escroquerie.

  • von reisner , 27 novembre 2015 @ 11 h 01 min

    “Analyser dans la durée et en tendance” (sic)
    C’est fait madame. Il y a plus de quarante ans que la tendance, comme vous dites, est orientée à la hausse.
    Sortez la tête de votre sac à malices socialistes et vous verrez aussitôt un peu plus clair.
    Les chômeurs se moquent de votre analyse à la gomme.

  • Charles , 27 novembre 2015 @ 11 h 06 min

    Ce qui est effrayant, c’est tout ce qui entoure le chômage de masse.

    Les personnes dans les provinces qui ont un petit travail dans le privé,
    donc exposé au moindre coup de vent, vivent dans la crainte du lendemain.

    Elles vivent à crédit pour pouvoir exister et tenir un semblant de dignité.
    La fin du travail, c’est la fin du recours au crédit (Auto, TV, Frigo etc).

    Cette précarité entraîne toute une suite de conséquences:
    Pour un jeune couple avec 2 smics, on n’ose pas lancer le premier enfant.
    Pour un couple avec 2 enfants, on n’ose pas lancer le troisième, quitte à avorter.
    Donc la plus part des enfants n’ont plus de frères ou de soeurs.
    Un garçon qui a un frère n’aura pas de soeur.
    Une fille qui a une soeur n’aura pas de frère.
    Un garçon et une fille seront sans frère pour le fils et sans soeur pour la fille….

    En face des 2 smicards, à 1.400 net (2 X 1.000 = 2.000 – 600€ de frais 2 voitures)
    nous avons un couple de clandestins “régularisés”avec 4 enfants,
    plus le cinquième en route avec 2.500€ à 3.000 € d’avantages sociaux
    sans avoir jamais cotisé (ni leurs parents) ni aucun frais liés au travail.

    J’ajouterai le chantage sexuel sur les femmes au travail, ceci à des degrés divers.
    cela va du brutal jusque au subtil et insidieux, sous prétexte de communications
    et d’échanges dans les séminaires de formation intra entreprises.
    Celle qui ne veut pas coucher, est une mijorée faisant du mauvais esprit.

  • Gisèle , 27 novembre 2015 @ 12 h 28 min

    Un coucou a encore pondu dans le nids ….

  • Gisèle , 27 novembre 2015 @ 12 h 29 min

    Les chômeurs sont leur fond de commerce !

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