Nicolas Doze : l’injustice de la progressivité de l’impôt

Avec un impôt progressif, tout le monde ne participe pas de la même façon au fonctionnement de la société, certains ne payant pas d’impôts quand d’autres en payent beaucoup et ce pour les mêmes “services”. Avec un impôt proportionnel, celui qui gagne 1 000 paye de toute façon plus que celui qui gagne 500 et la proportionnalité est juste, contrairement à la progressivité, explique Nicolas Doze ce mercredi sur BFM TV, l’impôt le moins injuste étant la flat tax. Mais le gouvernement envisage de saigner un peu plus les classes moyennes en rendant la CSG progressive :

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10 Comments

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  • David , 28 novembre 2013 @ 10 h 29 min

    Ce qui est inique c’est justement les classes sociale et la théorie marxiste qui va avec.

    Un impôt unique (plat) est à mon sens le meilleurs, seulement pour ne pas être trop dure pour les pauvres il doit être bas et pour être bas, les dépenses publiques doivent l’être aussi.

  • baldag , 28 novembre 2013 @ 11 h 02 min

    Je suis contre l’impôt progressif car j’estime que, si dans la vie on se donne du mal pour réussir, on n’a pas à en faire les frais. En effet, il n’y a pas que des gens nés riches en ce monde, parmi lesquels d’ailleurs bon nombre travaille beaucoup, il y a aussi ceux qui le deviennent qui, partant de très bas, grimpent l’échelle sociale par leur labeur, leur acharnement à étudier, se perfectionnent sur de longues années, soit par les études, soit par la soif d’apprendre en cours du soir, en stages, en lisant, ce tout en travaillant. Et puis il y a les autres, ceux qui n’ont pas les moyens intellectuels de “grimper” (ou n’en ont pas trouver le “sésame”) que l’on doit aider, ceux qui ne veulent pas se casser la tête, ceux qui ont un poil dans la main (ça existe : qui n’en connait pas?) qu’on n’a pas à financer. Appliquons donc un taux d’imposition unique sur tous les revenus y compris ceux qualifiés de “sociaux” : ce sera plus simple et cela coutera moins cher à administrer. Quand aux niches fiscales… on peut en supprimer une bonne partie. Je ne suis pas foncièrement contre car elles peuvent avoir une utilité. Mais lorsqu’elles sont instituées, elles ne doivent l’être que pour un temps déterminé.
    Bravo monsieur Dozé pour votre professionnalisme qui fait honneur au métier de journaliste qui en a bien besoin aujourd’hui.

  • David , 28 novembre 2013 @ 11 h 23 min

    En réalité pour ma part je vais aller encore plus loin dans mon raisonnement.

    Dans l’absolu, le mieux serait que si on a suffisamment baissé les dépenses publique pour placer d’IR à 3 ou 2% (je rappelle que l’IR est loin d’être le premier impôt) on pourrait tout simplement le supprimer.

    Parce que franchement avec l’impôt sur l’héritage et sur le foncier ce n’est pas l’impôt le plus moral qui soit.

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