Après Nice, après l’Allemagne, Saint-Étienne-du-Rouvray. L’Europe est mortellement frappée par l’islam radical en ce mois de juillet 2016. Une nouvelle fois, comme depuis tant d’années maintenant. Tant d’années, durant lesquelles les responsables politiques ont littéralement abandonné leurs populations entre les mains de Frankenstein, vantant les mérites de l’immigration, des sociétés multiculturelles et multiconfessionnelles et, donc, ultra-violentes.
Tant d’années durant lesquelles l’Église, et particulièrement l’Église de France, a littéralement « baissé son froc » devant une religion comme l’islam, qui est aujourd’hui devenue la première de France en termes de nombre de pratiquants assidus.
Tous ces chers évêques et responsables religieux qui, depuis tant d’années, appellent au dialogue et à l’amour… pour qu’in fine l’un des leurs se fasse égorger dans sa propre église par un individu – comme il en existe des milliers en France – peu sensible au dialogue interreligieux.
Et que dire de ces citoyens, presque hagards, ahuris, qui, interrogés par les médias subventionnés, expliquent « qu’ils ne comprennent pas, que tout allait bien » ou encore « qu’ils n’imaginaient pas que cela arriverait un jour en bas de chez eux, dans leur petite ville paisible » ?
Face à cette masse de citoyens parfaitement conditionnés, lobotomisés par une oligarchie mondiale qui cherche depuis des années à en faire des moutons déracinés, se dressent, aujourd’hui, des hommes et des femmes, jeunes, fanatisés, idéologues, ayant envie d’en découdre et de vivre une aventure au nom d’une religion – sans craindre aucunement qu’elle ne finisse mal pour eux. Sans craindre, non plus, d’ôter la vie à quiconque se dresserait sur leur route.
Face à cette masse de citoyens qui se pressent dans les urnes lorsqu’on leur dit de voter, dans les supermarchés lorsqu’on leur dit qu’il y a des soldes, dans les rues lorsqu’on leur explique qu’il y a une chasse aux Pokémon ou devant la télévision lorsqu’on leur vend une compétition sportive, se dresse une armée, nombreuse, d’individus formés, déterminés et révoltés contre le monde moderne et contre, bien souvent, le pays qui les a vus naître par erreur.
À force d’avoir renié leur identité, à force d’avoir oublié qui ils étaient, à force d’avoir accumulé les lâchetés et les renoncements quotidiens, à force de ne pas avoir voulu ouvrir les yeux, à force d’avoir baissé la tête et d’avoir adopté une mentalité d’esclaves et de victimes, les Français ont déjà un pied dans la tombe, sans le savoir.
Alors maintenant, debout les morts !