Une semaine ordinaire en dictature multiculturelle…

Depuis une semaine, la gauchosphère se livre à un concours de haine de la France. On serait presque tenté d’excuser les racailles subventionnées et mises sur un piédestal sans raison, tant l’exemplarité fait défaut à nos élites. En réponse à Donald Trump qui affirmait que la France d’aujourd’hui ne ressemblait plus à ses devancières, François Hollande a déclaré qu’ici, il n’y aurait pas « de personnes qui prennent des armes pour tirer sur la foule ». Tout s’explique donc : quand nous subissions cinq ans de terreur islamiste et d’insécurité chronique, notre chef de l’État vivait à Singapour.

François Hollande n’est pas aveugle car il sait très bien que la France est en guerre. Il est donc menteur, manipulateur et insensible. À l’image de son hologramme, Emmanuel Macron.

Double politique de François Hollande (physique de jeune premier en plus), l’homme qui marche sur les eaux d’un monde unifié par le marché a affirmé que la France n’avait pas plus une culture qu’un art spécifique à revendiquer. Il a mal compris Edgard Morin, pour qui notre nation était polyculturelle, c’est-à-dire qu’en son être se côtoient des sensibilités différentes, allant de Chateaubriand à Voltaire. Emmanuel Macron défend une France multiculturelle, stérile opposition des contraires que le commerce maintiendrait en une saine harmonie concurrentielle.
La fondation Terra Nova, pourvoyeuse officielle d’utopies socialistes empoisonnées, proposait récemment de supprimer le lundi de Pâques et l’Ascension pour les remplacer par une fête musulmane et une fête juive… Ils veulent en finir avec l’Histoire de France, sacrifiée sur l’autel de l’indifférenciation. Afin de changer le regard que portent les Français sur la France, il convient de leur donner de nouvelles représentations. Les serviteurs de la discrimination dite positive se chargent de trouver des élites correspondant au zeitgeist contemporain : jeunes journalistes du Bondy Blog, footballeurs des « quartiers », rappeurs, actrices issues de l’immigration… Ils sont avantagés, cités en exemple, excusés et aidés.

Les César du mépris de la France reviennent donc à :

– Mehdi Meklat et son compère Badrou, pour leur dévotion à copieusement insulter un pays qui leur a pourtant tout donné : médiatisation indue, confortables salaires, hommages divers.

– Oulaya Amamra, meilleur espoir féminin de la racaillisation des esprits qui illustre à merveille la faillite de l’Éducation nationale. Son orthographe est si calamiteuse qu’elle a écrit « naigre » plutôt que « nègre » dans un tweet…

– Déborah Lukumuena, superbe second rôle dans la superproduction du racisme anti-blanc autorisé et encouragé jusqu’au sommet de l’État.

– Houda Benyamina, meilleure réalisatrice du film de complot sordide après les attentats du Bataclan : « Pas d’amalgame, c’est pas la faute de l’islam mais celle des sionistes. »

– Yacine Chaouat, assistant réalisateur du djihad sénatorial. Avec les remerciements de la section LGBT de la mairie de Paris.

– Un César d’honneur à la classe politique qui a tout fait pour que des personnes sans réel talent soient promues du seul fait de leurs ethnies.

– Un César d’honneur à la médiacratie, toujours prompte à nous raconter de belles histoires avec les damnés de la terre qui ont pourtant droit à tout.

Voilà qui conclut une semaine ordinaire en dictature multiculturelle.

Gabriel Robin – Boulevard Voltaire

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