L’école publique parle de sodomie et de godemichet à des enfants de 13 ans

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  • conneriephobe , 28 février 2014 @ 12 h 30 min

    A professeur d’SVT : Vos propos n’engagent que vous et partent peut-être d’une bonne intention.
    En tant que mère de 5 enfants, dont 4 volent de leurs propres ailes et sont bien droits dans leurs baskets, je n’ai pas attendu de l’Ed Nat qu’elle fasse mon boulot de parent aimant, protecteur et responsable.

    Il est évident qu’on assiste ici à une volonté de perversion et de destruction de nos enfants et ados sous couvert du “mieux vaut prévenir que guérir”.

    Sous prétexte qu’aujourd’hui le sexe impudique, agressif, crade et pornographique s’étale partout -ce qui est malheureusement une réalité- il faut y “faire goûter” nos petits en les considérant de facto comme des personnes déviantes et assoiffées de sexe, probablement ce que sont ceux qui pondent de tels contenus dans les manuels scolaires.

    On demande aux professeurs de SVT de faire leur boulot d’instructeur -et non d’éducateur- au lieu de se conduire en prosélyte en matière de pratiques sexuelles qui n’ont RIEN à voir avec la reproduction humaine telle qu’elle doit être enseignée.

    C’est trop compliqué ? Alors il faut changer de métier. L’élevage de moutons au Larzach, çà vous branche ?

    Dernière chose : je vis avec mon temps même s’il me désole et me révolte, et ces valeurs auxquelles je crois sont universelles : respect de l’enfance, protection de l’innocence et Vérité, constamment bafouées.

    Parents, réveillez-vous et protégez vos enfants !

  • la Méange , 28 février 2014 @ 13 h 24 min

    Pas en français non, du moins concernant la “sexualité” : soit ils existent mais sont restés à l’échelle confidentielle, soit il n’y en a pas.
    Aux EU en revanche, plusieurs enseignants, psychologues ou sociologues ont dénoncé cela depuis grosso modo 20 ans.

    En France, depuis la deuxième moitié des années 90, cependant, plusieurs enseignants se sont levés pour parler (et pas que de l’incitation à la débauche, c’était plus général) via des articles ou des conférences données ici ou là, généralement dans des écoles privées à la demande de directeurs ou de parents. J’en ai donné moi-même quelques-unes, mais elles n’étaient pas tant orientées sur la “sexualité” que sur l’utilisation des techniques de manipulation de la pensée – ce qu’on appelle plus techniquement les sciences cognitives –
    Dans ces années-là, nous ne disposions hélas pas encore du formidable outil qu’est internet, si bien que ces conférences sont restées confinées à des cercles restreints d’auditeurs.

    Sinon, comme livre français généraliste sur les intentions réelles et les buts de “l’éducation nationale”, l’ouvrage de P. Bernardin “Machiavel pédagogue” reste une référence à cet égard, même s’il est déjà un peu ancien (1995).

  • la Mésange , 28 février 2014 @ 13 h 26 min

    Pas en français non, du moins concernant la « sexualité » : soit ils existent mais sont restés à l’échelle confidentielle, soit il n’y en a pas.
    Aux EU en revanche, plusieurs enseignants, psychologues ou sociologues ont dénoncé cela depuis grosso modo 20 ans.

    En France, depuis la deuxième moitié des années 90, cependant, plusieurs enseignants se sont levés pour parler (et pas que de l’incitation à la débauche, c’était plus général) via des articles ou des conférences données ici ou là, généralement dans des écoles privées à la demande de directeurs ou de parents. J’en ai donné moi-même quelques-unes, mais elles n’étaient pas tant orientées sur la « sexualité » que sur l’utilisation des techniques de manipulation de la pensée – ce qu’on appelle plus techniquement les sciences cognitives –
    Dans ces années-là, nous ne disposions hélas pas encore du formidable outil qu’est internet, si bien que ces conférences sont restées confinées à des cercles restreints d’auditeurs.

    Sinon, comme livre français généraliste sur les intentions réelles et les buts de « l’éducation nationale », l’ouvrage de P. Bernardin « Machiavel pédagogue » reste une référence à cet égard, même s’il est déjà un peu ancien (1995).

  • la Mésange , 28 février 2014 @ 13 h 28 min

    Eh bien Eric, les preuves sont à la vue de tous ! Il suffit d’ouvrir un manuel de “SVT” de 4ème, vous dis-je ! Tout y est : il suffit de lire.
    N’importe qui peut se procurer un de ces livres (ou tous, s’il est fortuné)

  • Eva , 28 février 2014 @ 13 h 40 min

    Bien dit , ils sont à 90 pour cent de gauche et heureux de l’être, si vous ne pensez pas comme eux , nous sommes des anaphabêtes, mais là avec leur gender ils devraient réagir , ils ont des enfants tout de même, il est vrai que les Français sont des moutons bêlants—

  • la Mésange , 28 février 2014 @ 13 h 42 min

    Ajoutez à cela les parents qui trouvent cela “normal”, ou qui haussent les épaules pour dire “bah, ce n’est pas grave”.

    Ayant donné des cours de soutien en 2010 à une gamine qui était en 4ème, justement, elle me demanda de lui faire réciter son cours de biologie (le titre était “Choisir d’avoir un enfant, ou pas”…déjà tout un programme).
    Quand je vis ce que la prof avait dicté et que la pauvre enfant avait consciencieusement et soigneusement noté sur son cahier, mes cheveux se dressèrent tout droit !
    Cela parlait (je cite, attention les yeux…) d’éjaculation, de masturbation, et même d’autres choses…dont je ne connais pas la signification !

    Horrifiée, je lui demandai son livre de cours, et je vis d’autres horreurs dans ce chapitre et les autres du même genre. Exemple : bandes dessinées montrant un très jeune homme mettant un préservatif (ou une femme le lui mettant), femme mettant un “préservatif féminin” (j’ignorais que ça existait, merci au manuel de 4ème de m’avoir déniaisée sur le sujet…)

    Exemple de questions dans les exercices : quels sont les avantages et les inconvénients du préservatif masculin par rapport au féminin (ce dernier porte un nom, mais je l’ai oublié) ?

    J’appelai donc la mère, à qui je montrai le cahier et le livre de classe. Elle eu un air un peu gêné (tu m’étonnes), et je lui demandai “mais vous trouvez ça normal ? Et encore, vous ne savez pas ce que cette prof peut raconter à votre fille, de pire que ce que nous voyons là, mais qui n’est pas écrit dans son cahier !!??”.
    Tout ce que j’obtins comme réponse fut un haussement d’épaules avec un sourire embarrassé. Cela en dit long sur le je-m’en-foutisme des parents !

    Non seulement on détruit l’innocence des enfantspar l’étalage de pornographie sous forme de textes et de dessins, et ainsi on leur apprend des choses que soit ils ne devraient pas savoir A CET AGE, soit ils ne devraient pas savoir DU TOUT, mais de surcroît on les incite au péché, tout en faisant passer tous ces péchés (masturbation, fornication, actes contre-nature…) pour des choses normales !

    Si les parents ne réagissent pas, qui pourra le faire ?

  • montecristo , 28 février 2014 @ 14 h 07 min

    Professeur d’SVT

    J’ai lu toutes les critiques qui suivent votre post. Je les trouve injustifiées pour la plupart.
    Car, je vous crois sincère.

    Les intervenants de ce site sont très certainement des gens de “bonne famille” de français “de souche”.
    Peut-être ne savent-ils pas à quelle population vous enseignez et peut-être ne résident-ils pas dans les quartiers où les “tournantes” sont le lot habituel. Résultat de l’éducation de parents qui parfois même encouragent la délinquance, laquelle ouvre la porte à d’autres choses.

    Il est évident que … dans de nombreux cas … l’école peut encore paraître le seul endroit où l’on soit capable de remettre certaine pendules à l’heure.

    Si donc, l’Education Nationale, pouvait en toute bonne foi, rétablir une “morale” dans ces zones, personnellement je n’y verrais aucun inconvénient.

    Quant à ceux qui n’ont pas d’autres arguments que les fôtes d’aurtografe … ils sont comme ceux qui jettent la première pierre, sans savoir qu’on peut les attendre au virage un jour ou l’autre.

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