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On ne sait pas où ça va, on ne sait pas d’où ça part mais dans le Penelopegate, il est un point commun: ils sont tous “Bildenbergtiens”! Et comme le disait Fillion à Philippe de Viliers: ” Que veux-tu, c’est eux qui nous gouvernent”. Donc quand on veut gouverner… C’estpourquoi l’on ne pourra pas être surpris des émoluments de 100 000 euros pour deux petites critiques littéraires dans la gauchisante revue des deux mondes du milliardaire (153ème au niveau mondial) versés à madame Fillon par Marc Ladreit de Lacharrière… qui fut longtemps secrétaire général de B. Voili voilou!
François Fillon, un autre cheval de troie des Bilderberg: On ne connaît pas leurs noms, on ne connaît pas leurs visages. Pour autant, ils pèsent lourd et pourraient même bientôt gouverner. Ce sont les architectes du programme économique de François Fillon, qui a réuni 44,1 % au premier tour de la primaire à droite, ce dimanche 20 novembre. Qui sont-ils ? Les grands patrons, bien sûr. Derrière la percée de François Fillon se cache une véritable dream team de financiers et chefs d’entreprise, que le député de Paris désigne dans ses discours sous le doux nom de “société civile”: Henri de Castries, l’ex-PDG très influent du groupe d’assurance Axa (113.000 salariés) était présent, pour la première fois, après avoir fait miroiter pendant des mois son ralliement public. Tête de gondole de ces soutiens patronaux, on évoque son nom pour Bercy, voire Matignon en 2017. François Fillon n’a-t-il pas dit qu’il voulait “mettre en oeuvre son programme” avec “des ministres de la société civile” ?
Comment François Fillon a-t-il réussi à agréger autant de soutiens patronaux, alors que sa candidature patinait ? En leur donnant les clés de son programme présidentiel, tout simplement. L’idée germe en 2013. Ils ne sont alors qu’une poignée de membres de la “société civile” à croire en lui. Trois, précisement : l’ex-PDG de Numéricable Pierre Danon, le banquier Arnaud de Montlaur, ainsi que François Bouvard, ancien directeur général de McKinsey, une société spécialisée dans le conseil auprès des directions générales. En quelques mois, cette petite équipe de fidèles mobilise tout son réseau pour rédiger le programme économique de François Fillon. “On a fait une vingtaine de réunions sur la compétitivité avec vingt-cinq personnes, autour de plateaux-repas à trente euros, se remémore Pierre Danon, aujourd’hui directeur de campagne-adjoint de l’ex-Premier ministre. François Fillon écoutait, posait des questions sur les trente-cinq heures, les charges.” Dans la salle, des dirigeants de PME, d’ETI, mais aussi de “quelques présidents de grands groupes”. Selon le Canard enchaîné de ce mercredi 23 novembre, c’est Dorothée Pineau, dirigeante-adjointe du Medef, qui coordonne la mise en forme de ce véritable cahier de doléances patronal.