“L’écriture, c’est douloureux” se plaint l’humoriste qui invoque les fameuses “heures les plus sombres”, comme pour nous faire croire que révéler son salaire indécent, c’est comme rafler des juifs. “Fais-le (le job de Stéphane Guillon, ndlr) mon gars, on te donnera la même chose” ose déclarer Guy Carlier à l’intention du téléspectateur indigné :
Stéphane Guillon, très sérieux : “Ma chronique de 8 minutes, c’est six jours, sept jours de travail”
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