Peut-on être libertarien ET conservateur ?

87 Comments

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  Eric Martin , 26 août 2013 @ 21 h 05 min

  De nulle part…
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  Ladislas Ier , 26 août 2013 @ 21 h 06 min

  Goturgot, effectivement, je me demande tout ce que ces gens font sur ce blog: ils sont hostiles au libéralisme et plus particulièrement au libertarianisme et fréquentent ce site plus que quotidiennement. Tout ce qu’ils font consiste à essayer de nous montrer que la liberté est mauvaise et qu’il faut une dose d’étatisme… RIDICULE

  C’est comme si un coco irait sur le salonbeige…
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  Psyché , 26 août 2013 @ 21 h 27 min

  Je retiens de la charmante demoiselle que les libertarians sont pour la légalisation des drogues, de la prostitution, et par extension de la PMA etc … Ceci veut bien dire alors que l’on peut alors tout acheter et tout vendre, sans s’embarrasser de freins éthiques ou moraux. Il n’y a pas besoin de sortir d’une grande école de pensée pour comprendre.
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  Ladislas Ier , 26 août 2013 @ 22 h 22 min

  Pas sa légalisation mais plutôt sa dépénalisation.Le principe de base de la liberté, qu’appliquent à merveille les libertariens est le suivant:
  “la liberté s’arrête là où commence celle des autres”. On peut dire que c’est la seule limite que la liberté peut avoir d’après un libertarien.
  Pour la drogue et les prostitutions: l’état (jamais je ne mettrai de majuscule à ce mot que je méprise au plus profond de moi) n’a aucune légitimité à intervenir dans ces sujets. Seule la responsabilité de l’individu entre en jeu d’après le libertarien. Personne ne peut le forcer à lui interdire telle ou telle substance. Dans un système de liberté pure, il y aurait des organismes parfaitement privées qui feraient de la prévention contre ces drogues (y compris l’alcool qui est beaucoup plus nocif que certaines drogues). Il y aurait également des organisations caritatives pour prendre en charge les toxicomanes: mais rien ne devrait se faire avec l’argent public. L’état n’a aucune légitimité à dire ce qui est bien et pas bien.

  Ensuite, concernant l’avortement, le meurtre, l’euthanasie ou la GPA: ça ne pourrait pas se faire dans une société véritablement libertarienne car tous ces exemples désobéissent au principe édicté au départ de mon commentaire. Ce n’est pas une question morale d’interdire ces exemples ci-dessus. Il s’agit juste de dire qu’un meurtre va à l’encontre de la liberté de l’autre.

  Après, en tant que catholique pratiquant, je mets une dose de morale à ces affirmations. Mais en aucun cas je souhaiterais imposer ma morale à autrui.

  Il faut faire attention à l’emploi de légaliser et de dépénaliser. La “légalisation” est plus appropriée pour la gauchiasse (les écolos par exemple), qui souhaite légaliser le cannabis (et juste le cannabis. Mais pourquoi pas les autre drogues??). Par cette légalisation les “autorités” souhaitent davantage contrôler le marcher et promeuvent indirectement la consommation des substances en question.

  La dépénalisation préconisée par les libertariens est neutre: il s’agit juste de dire que chacun est libre ou non de consommer de la drogue, à ses risques, mais qu’il est seul responsable de ses actes.
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  Gisèle , 26 août 2013 @ 22 h 48 min

  Et si cette charmante demoiselle , ne parlait en définitive que du * lâcher la bride sur le cou * dans tous les domaines en ignorant totalement les subtilités des différences entre les adjectifs qu’elle emploie ??
  Encore une qui se la joue avec des mots .
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  Gisèle , 26 août 2013 @ 22 h 59 min

  La liberté libre arbitre ? ou la liberté encadrée ?
  Risques de dérapages et d’excès des deux côtés . Faire confiance à l’homme avec ses défauts , contre vents et marées , tout en sachant qu’il tombera souvent gravement , mais qu’il en tirera des leçons et se relèvera . Il n’y a qu’à relire l’Histoire .
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  Gisèle , 26 août 2013 @ 23 h 03 min

  A voir sa coiffure ,elle a plutôt le genre baba- cool et fumette , non ???

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