Rihanna, c’est cette jeune chanteuse qui dans ses clips tortille du bassin comme nous à la plage quand on s’est assis sur une palourde, qui se lèche les lèvres en chantant (essayez, c’est difficile), et est toujours filmée trempée de sueur, comme Johnny, sauf qu’elle on n’a pas envie de lui accrocher autour du cou un sapin sent-bon pour Twingo.
Elle vit sans vêtement, d’ailleurs ses fans la surnomment Riri, comme le neveu de Donald qui lui non plus n’a pas de culotte.
Bref, elle est aussi lascive que Nadine de Rostchildquand elle tombe sur un homme qui connait les 19 différents types de fourchettes, et elle constitue un piètre exemple, c’est à cause de Rihanna que nos gamines de 8 piges, quand on leur dit de danser, se cambrent comme des poneys en se frottant le oui-oui, alors que nous, qui avions comme modèle Elsa qui chantait T’en vas pas en sweat-shirt Waïkiki taille XXL, n’avons pas vu le loup avant nos 32 ans.
Rihanna a donc décidé de se racheter, c’est comme la taxe carbone, plus une star joue la chaudasse de base, plus elle fait dans l’humanitaire, ainsi Madonna, qui a passé la moitié de sa vie dans du cuir, comme un coussin de canapé chez But, a adopté les 2/3 du Malawi; quand elle y va, pour les gosses là-bas, c’est open-bar, c’est le casting de la Nouvelle Star mais sans avoir besoin de glapir du Adele.
Riri a donc créé une fondation pour l’éducation des enfants pauvres, afin qu’ils ne finissent pas comme elle à lécher des barres de pole-dance sur Youtube, et elle doit engranger des sous. Hier elle a écrit sur Twitter à Macron, le Rastignac low-cost du centrisme new age, en lui disant “Bonjour Mister Macron, will France commit to Fund Education ?”, ce qui en français veut dire “Vas-y, Manu, fais pas ton chien, aboule le brozouf, quitte à troquer ta villa du Touquet contre une copie chinoise de tente Quechua”