Uber sur le point d’être ubérisé ?

Les problèmes des conducteurs de taxi ne font que commencer :

Si les chauffeurs de taxi parisiens voyaient ça, ils deviendraient fous. Ces petites voitures blanches que l’on peut désormais voir circuler en conditions réelles sur des routes de la Silicon Valley, en Californie (ouest des États-Unis), sont autonomes, c’est-à-dire qu’elles peuvent se passer de conducteur. Ce n’est donc rien moins que la fin programmée du métier de chauffeur de taxi ou de VTC, ou même, de conducteur UberPOP que Google annonce, et ce, avant 2020 si la loi l’autorise.

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16 Comments

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  • Geneviève , 27 juin 2015 @ 11 h 58 min

    Effarée de voir à quel point les commentaires passent à côté de l’illustration parfaite dans cette affaire Uberpop, de la catastrophe annoncée du Traité transatlantique (TAFTA).. Uberpop l’applique avant même qu’il ait été signé!!!

  • petrel68 , 27 juin 2015 @ 13 h 28 min

    ils achètent cette fameuse licence en espérant la revendre plus chère aptes l’avoir amortie sur le dos des clients. Aucune envie de pleurer sur leur sort. le fait que la profession soit en passe d’islamisation pourrait devenir insupportable et dangereux (armée motorisée) pour les parisiens

  • petrel68 , 27 juin 2015 @ 13 h 31 min

    je n’aime pas les taxis, particulièrement les parisiens. Mais il faut admettre qu’il s’agit d’un transport (mis) en commun , mais individualisé ….

  • brennou , 27 juin 2015 @ 15 h 54 min

    Et on nous bassine avec la “vénalité des charges” sous l’Ancien Régime ! La revente d’un “pas de porte” ou d’une clientèle existe depuis toujours et un nouvel installé a souvent intérêt à reprendre contre finance un état existant plutôt que de passer des années à fidéliser une clientèle. Mais en l’occurrence, l’État ne joue pas, une fois de plus, son rôle qui est de contrôler la prise en charge d’un client emprisonné dans un véhicule qui peut l’emmener n’importe où, pour lui faire subir n’importe quoi ! Autrefois, disons dans mon enfance, l’octroi d’une plaque était précédé d’un examen qui, outre la moralité, portait sur les plans de la ville et le candidat qui ne traversait pas Paris par le chemin le plus court ou le plus rapide, suivant la demande, se voyait recalé. Je sais, le GPS a changé la donne mais la cristallisation des routines qui a donné lieu à de juteuses dérives, a empêché toute évolution saine et profitable à tous de cette économie. L’arrivée des barbus au sein des rouages de la machine, comme à Roissy et comme autrefois le PCF, ne garantit pas non plus un avenir tranquille !

  • marie france , 27 juin 2015 @ 19 h 34 min

    uberpop,qui est fautif ??? mais nos gouvernants qui sont à la botte des amerlocs,……quand à “nos taxis vu qui les conduit et comment certains se comportent ,ils me laissent indifférente

  • Christiane , 27 juin 2015 @ 20 h 25 min

    Le problème, en effet, dépasse celui du simple taxi; dans ce litige, Geneviève@, vous avez raison, ce qui nous pend au bout du nez, c’est le système Uber appliqué à toutes nos structures : médecine, agriculture, élevage, artisanat etc.. enfin tout ce qui compose la France et qui sera détruit en peu de temps par ce maudit traité transatlantique que les potiches qui nous dirigent vont laisser passer et signer. Pauvre France et pauvre peuple de France qui ne fait rien pour empêcher cette catastrophique échéance.

  • Jeff de Nice , 27 juin 2015 @ 22 h 08 min

    Parfait j’achète….

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