Uber sur le point d’être ubérisé ?

Les problèmes des conducteurs de taxi ne font que commencer :

Si les chauffeurs de taxi parisiens voyaient ça, ils deviendraient fous. Ces petites voitures blanches que l’on peut désormais voir circuler en conditions réelles sur des routes de la Silicon Valley, en Californie (ouest des États-Unis), sont autonomes, c’est-à-dire qu’elles peuvent se passer de conducteur. Ce n’est donc rien moins que la fin programmée du métier de chauffeur de taxi ou de VTC, ou même, de conducteur UberPOP que Google annonce, et ce, avant 2020 si la loi l’autorise.

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16 Comments

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  • V_Parlier , 26 juin 2015 @ 19 h 56 min

    Que je voie donc une voiture comme çà se débrouiller dans Paris, qu’on rigole un peu, et on en reparlera pour 2020! (Et je ne suis pas trop mal placé professionnellement pour connaître la question).

  • Alam , 27 juin 2015 @ 7 h 56 min

    Si ça pouvait mettre fin à l’archaïque monopole des taxis ce serait merveilleux. Il serait temps d’en finir avec cette corporation qui ne rend plus aucun des services qui l’ont justifiée, avec ses privilèges et ses passe-droit. Ces gens là donnent de plus une image détestable de notre pays et la présence en leur sein, de plus en plus visible, de barbus islamistes, chapelet au rétroviseur et CD psalmodiant des verset coraniques, prêts à recourir à la violence comme on l’a vu ces derniers jours (L’un d’entre eux éructant devant les caméras de la télé :”c’est nous les caïds aujourd’hui”) est une raison supplémentaire de mettre au pas cette profession.

  • Rouletabille , 27 juin 2015 @ 8 h 29 min

    Tout monopole est détestable. Mais la concurrence faite aux taxis qui payent leurs impôts et taxes, ainsi qu’une licence d’un montant astronomique, l’est tout autant.

    Alors, où est la solution?

  • Steph , 27 juin 2015 @ 10 h 09 min

    Une solution ? “J’en appelle à la responsabilité de tous”, comme dirait n’importe quel politicien !

    Les compagnies de taxi ont été longtemps possédées par des députés et/ou élus, ce qui est le motif historique des montants astronomiques des plaques, qui leur assurent un confortable revenu.

    Il faudrait que l’état, toujours prompt à déréguler, déréglementer, macroniser, ou attaliser, selon les cas, libéralise aussi la profession de taxi, en remboursant au passage les plaques actuelles aux taxis qui les ont payés, et en assurant les conditions d’une libre concurrence.

    Autre avantage, au lieu de nous bassiner chaque jour avec des leçons de morale écologique, que les prix des taxis baissent est un bon moyen de diminuer le nombre de voitures à Paris.

    Et pour ce qui est des taxis musulmans, pour ce qui me concerne, j’ai décidé de ne plus les prendre, pour des raisons de sécurité : pas envie d’avoir à expliquer au chauffeur que décapiter ses clients est une assez mauvaise idée.

  • champar , 27 juin 2015 @ 10 h 19 min

    Les taxis parisiens sont une profession parasite : Pas aimables, leur voiture est souvent une poubelle, si la destination ne leur convient pas ils ne prennent pas le client. Comme dans toute généralité il y a parfois une exception.
    J’ajoute que j’ai vu à plusieurs reprises un bus bloqué dans un couloir de bus à cause d’une vingtaine de taxis qui encombraient ce passage. Je trouve scandaleux qu’une voiture personnelle (taxi) puisse utiliser les couloirs de bus qui ont pour seule justification leur usage par les transports en commun.

  • Agathon , 27 juin 2015 @ 10 h 26 min

    Vous n’avez pas remarquez? grâce à la société Américaine Uberpop qui organise le travail illégal en France en défiant une décision de Justice; grâce à un attentat du terrorisme international armé depuis les révolutions arabes bénies par les Atlantistes de tout poil , on ne parle plus de l’espionnage de notre exécutif par les instances officielles américaines….. A qui profite le crime ?
    Décidément la France est ouverte à tous les pets de l’occupation!

  • L'alsacien , 27 juin 2015 @ 10 h 36 min

    Une licence de taxi est délivrée gratuitement par l’Etat. Ce sont les taxis eux-mêmes qui les revendent à prix astronomiques (et l’Etat se sucre au passage). Qu’ils ne viennent pas se plaindre.

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