Le 28 juillet prochain, à Paris, se déroulera le festival Nyansapofest, qui se définit comme « premier festival afroféministe européen » à La Générale, local situé dans le 11ème arrondissement et mis à disposition par la Mairie de Paris.
Problème : le festival est interdit, en partie, ici aux blancs, là aux asiatiques, là encore aux hommes.
Le festival est organisé par l’association Mwasi, association racialiste qui a pour objet d’ « encourager les Femmes Noires à être actrices de leur émancipation et leur auto-détermination.».
Une association qui revendique ouvertement – sans être inquiétée judiciairement – la discrimination comme le souligne malgré lui un journaliste des Inrocks qui ne semble pas hostile au concept :
« Nous avons souhaité nous rendre à une de leur réunion afin de les rencontrer. Elles nous ont alors poliment refusé l’accès, sous motif que leurs événements internes ne sont réservés qu’aux femmes afro-descendantes. »
La foire aux questions sur le site de l’association est particulièrement évocatrice.
Parmi les thématiques du festival on retrouve des thèmes farfelus comme : « Penser des solidarités radicales entre femmes trans et cis dans des contextes afroféministes en France » ou « Dépolitisation et blanchiment de l’intersectionalité ». Lire la suite sur Breizh.info !
6 Comments
Comments are closed.