« On en voit environ 150 à 200 dans le centre-ville à longueur de journée, même s’il y en a sûrement plus », explique notre source. « Ce sont des jeunes hommes – vingt à trente ans en général, parfois plus, qui viennent principalement du Maghreb, notamment de Tunisie et d’Algérie. Presque tous sont clandestins. Certains se présentent comme Libyens pour éviter d’être expulsés, d’autres ne font même pas cet effort, puisqu’il n’y a plus de volonté politique d’expulser ces clandestins », qui ne viennent pas de pays en guerre et n’ont rien à faire sur le territoire.
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