Pierre Cassen commente le dernier congrès de l’Union des Etudiants Communistes, où des militantes ont accusé des chefs de viols, faisant dégéné la fête. Il revient sur les nombreuses affaires de ce type, qui ont frappé l’Unef, le Mouvement des Jeunes socialistes, les Verts et même le Parti socialiste. Il démontre l’imposture de ceux qui, se réclamant du camp du Bien, et se disant féministes, se comportent comme les pires salauds avec les militantes, en se servant de leur statut de chef !