«Et qué s’appelerio Quézac». Vingt-deux ans après avoir incarné la petite fille de la célèbre publicité, Emilie Delaunay s’affiche de nouveau pour les besoins d’une réclame pour Quézac.
Le tournage a débuté mercredi 22 février sous un franc soleil en pleine vallée du Tarn en Lozère, d’où est extrait la fameuse eau gazeuse. Alors qu’elle apparaissait seule à l’écran lors de la publicité initiale, Emilie Delaunay partage cette fois-ci la vedette avec un deuxième personnage. En l’occurrence son fils de quatre ans, Louis, à qui elle est chargée de transmettre l’héritage de la fameuse légende Quézac si l’on en croit le pitch.
«C’était important pour moi de pouvoir ainsi poursuivre l’histoire», affirme Emilie Delaunay à LaDépêche.fr. La jeune femme, aujourd’hui âgée de 33 ans avoue avoir été pourtant avoir été «étonnée» que l’on vienne la chercher pour réveiller le secret de Quézac qui sommeillait en elle. C’est Emmanuel Grancher qui est chargé de réaliser ce court clip, avec la tâche délicate de faire oublier un certain Ridley Scott, auteur du tournage initial. De son travail doit émerger un spot publicitaire d’1 minute et 20 secondes dont la diffusion débutera sur France Télévisions à partir du 11 mars.
Le groupe pyrénéen Ogeu, propriétaire de la marque, espère que ce nouveau volet parviendra à marquer les esprits et doper de manière significative les ventes de bouteilles de Quézac, comme avait su le faire en son temps le réalisateur d’«Alien, le Huitième Passager», «Gladiator» ou encore «Seul sur Mars».