Intermarché s’engage à payer plus cher le kilogramme de viande

Eric Martin
26 février 2016
Latest Update: 26 février 2016 9 h 21 min
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Le groupe de grande distribution Intermarché s’est engagé auprès des éleveurs à garantir un prix minimum d’achat, fixé à 1,27€ par kilogramme de viande, et ce pendant cinq ans. Pour certains agriculteurs, le montant pourra même atteindre 1,50€ le kilogramme. Le distributeur a également promis qu’il n’y aura aucun impact pour le consommateur. Pour respecter son contrat, le groupe réduira plutôt ses marges dans les abattoirs et les supermarchés, ce qui représente une perte de plusieurs millions d’euros pour Intermarché mais qui devrait améliorer son image et lui attirer de nouveaux clients touchés par ce geste :

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André , 26 février 2016 @ 9 h 57 min
A quoi sert-il de manger de la viande ? Je suis herbivore et grâce à cela les maladies ont peur de moi. Je ne veux pas être souillé par aucun médecin qui ne passe son temps qu’à droguer ses patients pour faire fructifier les usines chimiques pharmaceutiques. Il existe suffisamment de plantes et d’épices pour soigner ou faire de la prévention, il suffit d’interroger son ange gardien qui ne demande qu’à nous aider si on l’accepte. Cette humanité va disparaître, maintenant c’est sûr, car l’homme a introduit le mal sur la terre en y faisant régner la bête immonde. L’homme n’a aucun respect pour la vie. En voici encore une preuve avec ma vidéo:

http://www.dailymotion.com/video/x3u5ujd_abattoir-d-ales_school
marie-france , 26 février 2016 @ 10 h 02 min
@ andré ,c’est vrai qu’en vous lisant ,je vois que vous êtes un “humain “hors du commun ,qui est plein d’humilité ,et d’amour pour ses fréres ……………………mdr
Cap2006 , 26 février 2016 @ 22 h 16 min
Je connais personnellement un vétérinaire qui travaillait dans un des abattoirs Intermarché… Elle a démissionnée ne supportant plus de déclarer conforme de la viande avariée
Cap2006 , 26 février 2016 @ 22 h 19 min
Je ne crois pas un seul instant qu’un distributeur aime perdre de l’argent.

Ils se rattraperont sur autres choses.

En attendant les agriculteurs vont pouvoir continuer à surtout ne pas changer quoique ce soit.
Charles , 27 février 2016 @ 19 h 43 min
Le lait est un produit de base , comme le pain.

Il est tout à fait normal de réglementer le prix du lait dans les 2 sens
Ceci de manière à garantir un revenu normal aux éleveurs
tout en assurant un prix accessible aux travailleurs pauvres.

Si on étudie l’évolution du prix du lait sur 30 ans, on constate
que nous avons une escroquerie aux dépends des éleveurs Français.
Sur la marge des distributeurs, il faut donc prélever le manque à gagner
des éleveurs (de l’ordre de 20 centimes du litre si on veut être sérieux).
Le sujet est cependant complexe, car il ne s’agit pas de pousser
ensuite à une surproduction de lait.

En revanche, il faut un plan filière lait permettant aux éleveurs
de développer la filière bio qui réussit très bien en France et Europe
et développer les produits dérivés pour les coopératives actuelles
et pour la production artisanale à la ferme (ou entre fermes associées).

Il va de soi que l’ourope Merkellienne n’a pas a se mêler de ce dossier.
Nous ne sommes plus dans les années 60/80 avec entre 6 et 12 membres de l’OUE.
L’ouverture aux pays de l’Est a tout changé et rend obsolètes
les formules de type “delorienne”
Charles , 27 février 2016 @ 20 h 00 min
Si les grandes surfaces refusent de pratiquer une marge réduite
alors elles doivent être signalées comme telles au public
et se voir taxées en compensation.

Si les clowns de Berlin-Bruxelles ne sont pas contents,
nous devrons sortir le carton orange de l’article T-50.

Si la France sort, alors l’empire germano-slamiste s’effondre.
C’est donc une base de négociation.

De toutes manières, l’UERSS est condamnée comme l’URSS.
tom , 28 février 2016 @ 20 h 03 min
Limite diffamant, hein, on se cache derriere l’anonymat pour dire n’importe quoi… Il se trouve que j ‘en ai visité, moi, des abattoirs d ‘Intermarché, pour mon travail. Vous dites n’importe quoi !