À l’heure où, chez nous, les médias et autres politicards sont atteints du syndrome de Stockholm, une femme, commissaire de police en Allemagne, Tania Kambouri, 32 ans, d’origine grecque, dénonce dans un livre qui s’arrache comme des petits pains – L’Allemagne sous lumière bleue ou l’appel d’urgence d’une policière -, la criminalité des hordes islamisées à laquelle la police est confrontée dans son pays.
Kambouri raconte que les policiers sont désormais attaqués, insultés par des enfants et souligne particulièrement le manque de respect des musulmans envers la corporation. « La police a perdu toute autorité, se trouve démunie et se retire de plus en plus face aux agressions dans la rue », raconte-t-elle devant une salle pleine et attentive à Friedrichsthal, dans le Land Saar. Tambouri est de tous les plateaux, fait l’objet des colonnes de tous les journaux, promeut son livre dans tout le pays. Inimaginable en France, où j’entends déjà les cris d’orfraie.
Tania Kambouri dénonce particulièrement les juges et procureurs qui ne sanctionneraient pas ou à peine, « ce qui nuit considérablement à notre société », souligne-t-elle. Elle révèle également la prostitution enfantine dans les camps de réfugiés, passée sous silence des médias. « Lorsque cela se saura, cela explosera », croit-elle savoir.
Dans sa corporation, Tania est respectée et reconnue. Bien évidemment, les partis de gôche islamo-collabo l’accusent de « platitudes racistes ». Mais le débat a le mérite d’exister outre-Rhin.
Débat qui semble impensable en France, lorsque l’on voit le sort qui est fait au brigadier-chef Jallamion, ce policier qui a osé briser le mur du silence en dénonçant les dangers de l’islamisme et qui fut, pour cela, lourdement sanctionné par sa hiérarchie.