David Van Reybrouck : « La démocratie fonctionnerait mieux avec des citoyens tirés au sort »

13 Comments

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  MICHEL ST PIERRE , 27 février 2014 @ 13 h 44 min

  Pour une vraie démocratie : la démocratie directe comme en Suisse ! Ou ce qu’on
  appelle ” Le référendum d’initiative populaire ” !
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  eric-p , 27 février 2014 @ 13 h 46 min

  Monsieur,
  être scientifique n’empêche pas d’avoir une bonne culture générale.Je ne dis pas le contraire.

  Pour gouverner la France, oui, il faut avoir une culture scientifique minimale.

  La France est en train de crever à cause des khmers verts

  -qui arrêtent la construction d’une autoroute sous prétexte
  qu’elle menace une espèce de scarabée

  -qui fait fermer une centrale nucléaire qui donnait de bons résultats sur l’avenir de la filière “surgénérateur”

  -Qui veut imposer une agriculture “verte” incapable de répondre aux besoins croissants de l’humanité.

  -Qui voue un culte non dissimulé à une secte (Greenpeace) fondée
  par un repris de justice (multirécidiviste)

  -Sectes vertes qui s’assemblent parfois pour
  des actions terroristes (Renseignez-vous sur “Earth First”)

  Que vous le vouliez ou non, la croissance et les progrès de l’humanité sont essentiellement dus aux progrès des sciences et des technologies.

  Rerfuser la science aujourd’hui, c’est condamner le pays
  au déclin et à l’obscurantisme.
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  eric-p , 27 février 2014 @ 13 h 50 min

  La gauche est une maladie honteuse.
  Elle a échoué partout où elle s’est installée.
  Pourquoi ne pas s’en débarasser ?
  Je sais, il y a du boulot…

  Je prétends à qui veut l’entendre que la démocratie repose justement sur l’élimination de cette idéologie fondée sur le mensonge permanent et la démagogie. Il suffit de regarder l’oeuvre du gouvernement actuel pour s’en rendre compte.
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  eric-p , 27 février 2014 @ 14 h 01 min

  La Suisse n’est pas une “démocratie directe” mais une apparence une illusion pour acheter la paix sociale.
  Une véritable imposture : Pas grave parce que l’immense majorité de la populace y adhère. Après tout, c’est le but recherché…

  Pour prendre un exemple récent, les suisses ont rejeté l’immigration au travers d’un référendum d’initiative populaire.
  Très bien.
  Les frontières vont-elles être fermées pour autant ?
  Pas du tout puisqu’en dernier ressort c’est le gouvernement qui va imposer
  des quotats ….en fonction des besoins des entreprises !

  Au bout du compte, ce fameux référendum sert en gros à de l’enfumage…

  Des exemples de ce genre, il y a des milliers en Suisse.

  Autre exemple fameux: L’arrêt des constructions des mosquées en Suisse.
  Est-ce-que celà empêchera les musulmans de proliférer pour autant ????
  Ben non évidemment puisque la liberté religieuse est garantie dans la constitution !
  À qui profite le crime dans ces conditions ?
  Ben aux politiques élus et la mafia des Partis qui donnent le change à des concitoyens un peu naïfs quant à leur indépendance culturelle…
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  baldag , 27 février 2014 @ 14 h 54 min

  Depuis des années, les français se divisent en deux parties quasiment égales, ce qui montre bien que la démocratie telle qu’elle existe chez nous est du pipeau.
  Le gros problème tient dans le système des partis politiques. Ils ne représentent aucunement le peuple, mais au mieux une petite partie du peuple. Quand l’un d’eux à la “majorité” très relative, il devient le parti dirigeant avec 20% environ des inscrits sur les listes électorales. Mais il ne représente que lui-même. Ceci explique l’immobilisme de nos belles “démocraties”.
  Dès lors ces partis ne travaillent pas du tout pour la richesse du pays et de sa population, mais pour leurs amis et eux-mêmes, pour garder le pouvoir si lucratif. Regardez en ce moment, la tragi-comédie qui nous est jouée : quel est la seule scène, le seul acte écrits et appliqués POUR LA BONNE MARCHE DE LA FRANCE? Ces politiciens pensent-ils un seul instant à leur pays? J’ai du mal à le croire.
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  monhugo , 27 février 2014 @ 15 h 23 min

  @eric-p. Vous confondez “permis de voter” et “permis de gouverner”.
  Pas besoin à mon sens que l’électeur soit un “scientifique”, si l’élu ne perdrait rien à l’être.
  Mais l’électeur devrait avoir une bonne teinture (vérifiée) de ce que l’on appelait autrefois “l’instruction civique”. Le premier “permis de voter” devrait être acquis en classe.
  Je suggérai une durée de validité de 6 ans, puisque la mandature la plus longue est de 6 ans (municipales et cantonales). Tous les 6 ans, nouvel examen. Pas de permis, pas de vote ! Le coût ? Il y a tellement d’économies possibles à faire – côté immigration, au hasard…

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