La Cagette, le Chaudron, La Louve ou encore Superquinquin… Derrière ces drôles de noms se cachent des supermarchés d’un nouveau genre, dits «coopératifs» et “autogérés”. En échange de quelques heures de travail, les clients qui sont aussi actionnaires peuvent profiter de produits sains et souvent moins chers que dans la grande distribution. De Lille à Toulouse, en passant par Paris ou Montpellier, aujourd’hui, une trentaine d’initiatives de ce genre ont vu le jour en France. Alors comment ça marche ?