Chers amis,
Comme nous vous l’avons déjà signalé, la France Insoumise a déposé une proposition de loi visant à aggraver encore la loi Léonetti-Claeys en légalisant la prétendue “euthanasie” (qui n’a rien à voir avec une mort douce, malgré l’étymologie, et tout avec un assassinat – en attendant l’élimination systématique des “indésirables” comme on l’a vu partout où cette législation funeste a été appliquée, de Sparte au IIIe Reich, et même aujourd’hui en Belgique et aux Pays-Bas, où mineurs et handicapés mentaux peuvent être éliminés, éventuellement même sans l’avis de leur famille).
Officiellement, cette loi “n’a aucune chance” d’être votée, car le gouvernement y est – toujours officiellement – opposé. Le problème, c’est que le gouvernement n’a pas l’air, d’après nos renseignements, de faire particulièrement pression sur sa majorité pour bloquer le texte. En tout cas, il est certain qu’il s’agit d’un ballon d’essai pour tester la résistance des défenseurs de la dignité humaine. Si nous ne nous mobilisons pas, cette loi peut parfaitement être votée – donnant un signal catastrophique au seuil de cette année importante pour les questions bioéthiques.
Alors écrivons vite à nos députés pour leur dire que nous suivrons avec attention leur vote et que nous leur demandons instamment de bloquer cette dérive prétendument progressiste (c’est curieux comme les “progressistes” n’ont que des lubies totalement archaïques à proposer!). Vous pouvez signer ci-dessous un mot pour tous les députés de votre département.
Je compte sur vous. Il faut absolument que nous empêchions cela.
Fidèlement,
Guillaume de Thieulloy
Madame, Monsieur le Député,
Je tiens à vous dire mon inquiétude à l’approche de la discussion de la proposition de loi proposée par la France Insoumise sur la prétendue “euthanasie”.
Cette loi, comme partout où elle a été adoptée dans l’histoire et dans l’espace, ne pourra pas manquer d’entraîner l’élimination systématique des “indésirables” et des “improductifs”.
Je ne peux pas admettre que la vie humaine soit ainsi bafouée.
Et je doute fort qu’il existe, comme le prétend le consensus médiatique, une unanimité sur ce thème dans la société française.
Je vous demande donc instamment de vous opposer à cette proposition de loi et vous assurer de ma vigilance sur ce thème. Une civilisation se juge au respect qu’elle réserve aux plus faibles. J’ose espérer que la nôtre ne cherchera pas à concurrencer les sociétés totalitaires en “offrant” une mort prétendument “miséricordieuse” à ceux dont “on” estimerait que leur vie ne mérite plus d’être vécue.
Vous assurant de ma vigilance sur le respect de la vie humaine, je vous assure, Madame, Monsieur le Député, de mes sentiments attentifs.
Post-Scriptum, mes remarques personnelles:
[vos remarques]