Présidence du FN : la lettre au vitriol d’Eric Dillies, l’homme qui voulait affronter Marine Le Pen

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  • Joséphine , 26 novembre 2017 @ 8 h 27 min

    Marine a eu tort d’ignorer la main tendue d’Eric DILLIES. Dommage pour elle.

  • Richard , 26 novembre 2017 @ 12 h 02 min

    Il est grand temps que cette femme parte et laisse la place à quelqu’un de vraiment compétent. Personnellement, je ne me déplacerai plus pour voter tant qu’elle sera là. On a tous vu le deuxième tour des élections présidentielles. Il n’y a plus rien à dire. Elle s’est condamnée elle même.

  • Alain , 26 novembre 2017 @ 18 h 27 min

    Elle a démontré lors du débat de l’entre-deux tours qu’elle n’avait pas le niveau requis pour la fonction présidentielle. Il est temps qu’elle se retire définitivement à moins qu’elle ne veuille couler avec le FN!

  • Trucker , 27 novembre 2017 @ 15 h 16 min

    Elle a commis la faute irréparable lors du débat du second tour : elle a accrédité l’argument ( en parti faux ) de ses adversaires qui claironnent depuis 30 ans que le FN n’était pas capable de former des cadres compétents dans la gestion des affaires du pays ; elle n’a pas été capable d’exposer son programme de manière cohérente, compréhensible et d’apporter la garantie que l’équipe issue de son élection….encore aurait-il fallu qu’elle obtienne une majorité à l’assemblée…soit en mesure de répondre efficacement au risque induit et de prémunir l’économie du pays des conséquences de ce qui était au coeur de son programme : la perspective de la sortie de l’Euro.

    Partant de ce constat, il n’y a plus qu’une seule orientation à prendre, faire ce que préconise Eric Dillies ou finalement donner raison à Asselineau, qui n’est pas grand devin comme le croient ses partisans, lorsque celui-ci répète depuis des années que le FN est un repoussoir, une machine à perdre et une entreprise dont la finalité n’est que de faire vivre de la politique ceux qui en sont membres ,cadres et dirigeants….du moins pour ceux d’entre eux qui tirent profits et salaires de leur affiliation.

    Cette campagne électorale de mai/juin 2017 aura été une nouvelle campagne de France……avec la déroute qui va avec….la cinquième colonne, un état major à côté de la plaque qui ne mesure pas la vraie force de l’adversaire…ni même sa stratégie de la blitzpolitik, ou comment un candidat presque inconnu et sans parti politique organisé va bousculer les clivages établis et conquérir le pouvoir en quelques mois de campagne.

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