“Ce qui nous frappe surtout c’est le silence. Alors que quelques instants auparavant, il y avait des hurlements, des coups de feu, une grande agitation. Là, on ouvre la porte. Il n’y a plus rien, plus un bruit, c’est presque surréaliste”, raconte le commissaire de la Bac qui fut le premier à pénétrer au Bataclan, y découvrant avec effroi “centaines de corps allongés partout”…
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- 25 novembre 2015
- Latest Update: 25 novembre 2015 10 h 18 min
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