Toujours plus de glace en Antarctique

Pour la première fois, des chercheurs ont mesuré l’épaisseur de la glace en Antarctique et contrairement à ce que dit le GIEC, la glace ne fond pas, au contraire, elle est plus épaisse que ne le prévoyaient les estimations :

Related Articles

43 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • kanjo , 26 novembre 2014 @ 22 h 54 min

    tout dépend de l’échèle de temps. Il fut un temps, pas si lointain, où le Groenland s’appelait ainsi parce qu’il était vert, et non pas couvert de glaces comme aujourd’hui.
    Ce réchauffement traduit-il la fin d’une mini glaciation ? ou le début d’une période chaude ? va-t-il durer quelques décennies ou quelques millénaires ? est-il dû à l’action des hommes ou à l’action du soleil ? ou à des modifications des courants marins ? ou à un basculement de la terre ou de la lune ? ou à une conjonction de plusieurs facteurs ?
    Il y plusieurs réponses possibles : soit nous nous adaptons, soit nous essayons d’adapter la nature à nous.

  • Alex , 27 novembre 2014 @ 1 h 03 min

    @Kanjo :

    Votre esprit critique est très agréable à lire et plein de pertinence.

    Pour comprendre la théorie selon laquelle l’Homme descendrait du singe, il faut considérer que l’évolution a lieu sur une très longue période de temps.

    Donc, le cas qui verrait un singe accoucher d’un Homme n’est pas envisageable et cela ne se passerait pas comme cela.

    Par contre il peut y avoir des mutations génétiques minimes, siècles après siècles et sur des millions d’années, de telle sorte que finalement l’espèce évolue sans que personne ne s’en rende vraiment compte… à une époque donnée.

    Donc, un singe ne va pas accoucher d’un Homme, mais un singe va accoucher d’un autre singe avec des différences génétiques minimes, qui va lui-même accoucher d’un autre singe avec des différences génétiques minimes et ainsi de suite jusqu’à ce que la somme des différences génétiques minimes accumulées, ne fasse qu’un presque Homme accouche d’un Homme.

    Par ailleurs la division cellulaire est imparfaite et lorsque les cellules se dupliquent pendant que le foetus se forme, par hasard ou à cause de la radioactivité naturelle, il peut y avoir des ratés, ce qui engendre des mutations génétiques.

    Les mutations génétiques induisent alors des êtres avec un nouveau patrimoine génétique et la sélection naturelle fait le tri entre les êtres qui sont viables pour survivre et ceux qui ne le sont pas.

    C’est ainsi qu’après cet écrémage sur des millions d’années, un être vivant qui ne ressemble plus vraiment à un singe mais qui est presque un Homme, finit par accoucher du premier Homme.

    C’est comme si l’Homme de néandertal accouchait du premier Homo Sapiens Sapiens (vous et moi).

  • Alex , 27 novembre 2014 @ 1 h 13 min

    @brennou :

    L’Homme ne descend pas du singe, mais il a un ancêtre commun avec le singe…

    Entre les deux le chainon manquant.

    Soit on y ajoute dieu dans l’équation pour adopter une théorie créa-darwiniste (physique de l’information), soit on y ajoute l’intervention d’une manipulation génétique extraterrestre… ou alors on envisage les deux en même temps.

  • Alex , 27 novembre 2014 @ 1 h 21 min

    @Gisèle :

    Je n’ai pas bien compris votre commentaire, je serais très heureux de discuter avec vous…

  • trahi , 27 novembre 2014 @ 9 h 06 min

    Bon, il faudrait peut être arrêter de transporter les glaces du pôle nord vers le pôle sud…Ca va finir par désiquilibrer la planète…Chacun raconte sa petite salade sans vraiment savoir la vérité!!! Les hommes sont aparemment capables d’aller sur une comète, mais sont INCAPABLES de gérer leur environnement et de connaitre les raisons réelles de ces changement climatique!!C’est le BAZAR tout simplement….

  • scaletrans , 27 novembre 2014 @ 9 h 50 min

    Cette discussion me fait penser à la réponse qu’on m’a faite un jour lorsque je parlais des travaux statistiques sur les possibilités d’occurrence des séries de mutations positives qu’exigerait la (les) théorie(s) de l’évolution: “oui statistiquement c’est impossible, mais il s’est passé tellement de temps que c’est arrivé quand même”… On reste coi devant de tels arguments !
    Et lorsqu’on pense à l’absence massive, pour ne pas dire totale, d’espèces intermédiaires sur les rayonnages des paléontologues, on se dit que la (les) théorie(s) de l’évolution a du souci à se faire.
    Le premier chapitre de la Genèse répète, presque lourdement, l’expression “lemino”, ce qui veut dire “selon son espèce”, répondant par là, par avance aux évolutionnistes. Quelle rigolade c’était chez les rationalistes que le passage sur les lièvres ruminants… jusqu’à ce que, hé bien oui, les lièvres sont des sortes de ruminants.
    Un peu de science éloigne de Dieu, beaucoup y ramène.
    Lorsqu’on refuse l’idée même de Création (donc d’un Créateur) on en est réduit à rechercher la preuve contraire: c’est tout simplement un présupposé philosophique à la base d’une “science”.
    Tient, ça me fait penser tout à coup à la genèse du GIEC, bizarre non ?

  • scaletrans , 27 novembre 2014 @ 9 h 55 min

    OOOPS. La fin de la dernières glaciation date de plus de 10.000 ans … et les cycles climatiques identifiés les plus courts sont de 30 ans (bien qu’il y ait une composante solaire supplémentaire sur la base du cycle moyen, soit 11 ans)

Comments are closed.