c’est sans doute pour ça que je me sens mal à la Fnac. Les livres en tête de gondole ne me plaisent généralement pas, mais je ne savais pas que c’était sur ordre de la direction, je m’imaginais (naïvement) que c’était les plus vendus ou les plus demandés, et que les autres clients devaient être bien cons pour lire ça.
Eh bien non, c’est le choix du chef. On met en tête de gondole les livres qui seraient invendus sinon, mais qu’on veut à toute force écouler.
“Antifacho féministe” :
Voilà une belle expression, facilement inversable.
Goupille , 25 novembre 2014 @ 19 h 48 min
Dans les années 90, on m’avait parlé de la FNAC comme liée aux Ben Laden, totalement inconnus alors.
Le lobby juif cher à la Mite, le lobby wahabbite, et deux raisons de ne jamais mettre les pieds dans ce hall de gare du pré-digéré.
Robert , 25 novembre 2014 @ 20 h 24 min
La secrétaire d’une petite maison d’édition plutôt catholique démarchait la FNAC pour ses ouvrages.
Un livre sur l’avortement leur est proposé, question de la responsable de la FNAC “c’est pour ou contre l’avortement?”
Devant la réponse, “c’est plutôt contre” elle lance définitive, “on ne vendra jamais ça chez nous.”
C’est ça la FNAC. Vous avez toute la propagande homosexualiste, pro avortement, propagandiste de la drogue, la pensée de gauche, et rien ou presque d’autre.
“Agitateur d’idées” comme ils se disent, ouais, mais d’idées conformes.
Monsieur T , 25 novembre 2014 @ 21 h 01 min
La Fnac fut fondée par deux trotskystes dont l’un a viré libéral, avec de tels fondateurs il ne faut pas être surpris.
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