C’est surtout la tête de Christophe Billan qui risque de tomber. Une chasse à l’homme moins risquée qu’une scission avec l’ensemble du collectif. Personne chez Les Républicains n’a oublié le Trocadéro de Fillon et nombreux sont conscients de leur force de frappe dans un parti où les militants les plus modérés ont déjà fui chez Macron. Voilà pourquoi certains ont lissé leurs attaques, à l’image du juppéiste Maël de Calan : « Je demande l’exclusion de Christophe Billan, pas des adhérents. On peut combattre leur ligne, excessive et monomaniaque, sans les renvoyer. N’incarnent-ils pas un courant de la droite ? »
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