La scène se passe à Valfleury, petit village de 700 habitants de la Loire. Les autorités n’osent même plus envoyer le préfet, ni le sous-préfet (qui s’est pris un pétard dans les pieds quelques jours auparavant, à Saint-Denis-de-Cabanne), c’est un simple secrétaire de préfecture qui, aux côtés du maire, essaie de vendre un projet : l’installation de 50 clandestins, soit près de 10 % de la population, d’ici le 15 octobre, rien de moins.
Dans une salle chauffée à blanc, la conseillère régionale FN Isabelle Surply pose juste trois questions, qui font mouche, voire qui tuent.
Curieusement, l’article du Progrès relatif à cette réunion ne les mentionne pas.
Après s’être interrogée sur la légalité des arrêtés préfectoraux, elle demande :
“1. Pourquoi un pays qui a laissé mourir dans la rue 6000 SDF peut-il, d’un seul coup, accueillir 50 personnes dans un village, et pourquoi pas des gens comme nous ?
2. Qui va payer tout cela ?
3. Puisque, voulant nous rassurer, vous nous dites qu’ils seront surveillés 7 jours sur 7, et 24 heures sur 24, sont-ils dangereux ?”
L’ovation qui ponctue son intervention, quand elle se présente, et affiche son appartenance, en dit long sur l’exaspération de la vraie France, et son refus de l’invasion migratoire que les autorités veulent lui imposer.”
Reste qu’on s’étonne, dans un tel contexte, que le maire, Michel Maisonnette, puisse assister la Préfecture, et refuser le référendum que la population réclame à cor et à cri.
On regrette que la vidéo ne nous permette pas d’entendre les réponses des autorités…