La christianophobie de Benjamin Biolay résumée en un tweet (+add)

25 Comments

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  Gisèle , 26 août 2014 @ 10 h 45 min

  @mikeymousse Certains détails de votre commentaire me rappellent ce que j’ai lu des atrocités perpétrées par des Français sur des Français à partir de 1789 …..
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  Le Nouveau Croisé , 26 août 2014 @ 11 h 22 min

  GISELE :
  Les atrocités perpétrées par des français sur des FRANCAIS étaient le fait des ancêtres de ceux qui nous dirigent aujourd’hui , les bobos de gauche, les tenants du stalinisme et du marxisme : les socialistes et les communistes .
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  Baptiséesansfacebk , 26 août 2014 @ 11 h 45 min

  Mon enfant mon enfant
  Tu as raison
  ne fleuris pas les tombes et méprise l’Occident,
  Les Chrétiens sur leur vie t’ont donné l’héritage,
  Ce n’est pas ta faute, liberté et musique ils les ont protégées
  Mon enfant, mon enfant,
  Tu as raison
  Une chanson c’est joli et c’est beaucoup d’argent,
  Flatte les Poursuivants, l’argent ils apprécient,
  Tolérant reste bien, les Combattants sont loin,
  Pas [encore] dans ta maison.
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  Alainpsy , 26 août 2014 @ 11 h 49 min

  Peu étonnant que ce “chanteur” ait des problèmes de sémantique, “islamophobie” est un non-sens, la phobie étant une maladie relativement grave. Or, quand je vois qu’en arabie saoudite, ces dernières semaines, on a décapité 19 personnes dont certaines pour sorcellerie, quand je vois que dans le village de Kocho on parle d’une trentaine d’enfants Yézidis décapités, quand on pend les femmes en Iran, quand on viole et torture en Syrie, quand on crucifie ailleurs, quand chez nous on crache sur les femmes qu’on tire sur des enfants, qu’on rêve d’aller faire le djihad pour égorger à volonté…bref, je ne vois là qu’une seule racine, toujours la même, l’islam et son coran de la barbarie. Alors, détester l’islam comme un cancer ou la peste, c’est plutôt une réaction saine qui me fait penser qu’il reste encore un peu d’humanité joyeuse en nous…à transmettre au gentil “chanteur” indigent dont l’envergure de la pensée est inversement proportionnel à l’idée qu’il en a.
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  le relayeur fraçais , 26 août 2014 @ 12 h 24 min

  Quand la presse nous trouve des excuses, là où il n’y a que lamentation et justification… mais aucune excuse:

  “Je ne compte ni me lamenter ni me justifier.” nous dit le garçon.
  Alors que nous fait-il?

  “je prends juste bonne note des méthodes des uns et des autres.”

  On attendrait quelques précisions au sujet de ces “méthodes”, et de quelles méthodes s’agit-il? En fait de quoi il parle, là?

  “Il me semble que le repli communautaire est un des nombreux signes d’une société en crise. Et c’est ce que je déplore”

  Là il nous sort le discours mille fois rabâché par les médias anti nationaux et pro européens
  .
  ” Quant à la (ma) religion, c’est un sujet des plus intimes sur lequel je ne m’exprimerai jamais.”

  Ici pareil, c’est la fameuse dictature de la laïcité qui censure toute déclaration publique sur la religion.

  “Le moindre sujet de société évoqué par un non-professionnel de la politique est sorti de son contexte et devient une bombe clivante.”

  Ah bon, donc il est en train de nous dire qu’il a été victime d’un sujet qu’il a abordé, et que ce sujet a été sorti d’un contexte? Bref on aurait mal compris! Et qu’en plus, ne pas être un professionnel de la politique est un handicap pour se faire entendre sans que nos propos ne soient déformés?

  “Ces torrents de boue ne servent absolument ni les idées ni les personnes.”

  Quels torrents de boue, de quoi il nous parle là? Il explique que les invectives qu’il a subit après son tweet, lui sont revenues au visage par sa production et maison de disque?

  “La maladresse est humaine et trahit souvent une envie de bien faire.”
  Allez zou, encore un petit lieu commun, et c’est d’ailleurs cette phrase qui fait dire aux journaleux qu’il y a “excuses”, ” Errare humanum est” bla, bla bla…
  Et cette “maladresse” qui trahit souvent une envie de bien faire… Il va bientôt nous dire que les morts chrétiens sont également des maladresses?

  “Mais c’est un métier, j’en conviens.”

  Et qu’est-ce qui est un métier? Le gars ne se rend même pas compte de la bêtise qui conclut son texte. Il est en train d’en déduire que pour dire certaines choses, il faut être un professionnel de la politique. C’est-à-dire être une personne –comme chacun sait-, capable de dire des choses, qui sont plus servi par une technique, que par de réels et sincères sentiments de service aux autres. Et que le professionnel de ce “métier” est certainement le moins loyal qui soit.

  En d’autre terme, tous ceux qui ont un avis sur la politique, la société, la géopolitique, et qui ne sont pas du métier –c’est-à-dire nous tous-, sont susceptibles de dire des âneries. Parce que l’on n’est pas du métier CQFD.

  J’ai beau chercher et tourner le texte dans tous les sens, je n’y trouve rien qui puisse être appelé “excuses”, du genre: “Je regrette le mal que j’ai pu provoquer et je vous demande de m’en excuser”

  Par contre, j’y vois l’énorme contradiction avec l’introduction de l’auteur : “Je ne compte ni me lamenter ni me justifier.”

  Eh bin si mon vieux, tu te lamentes et tu te justifies. Tout ton texte n’est que cela, sur le thème: j’ai été mal compris parce que c’est difficile de parler de sujets délicats, alors que moi je déplore ceci, et que je ne suis pas cela etc, etc…

  C’est très très pôôôvre, mais c’est aussi à l’image de monde “artistique” de notre époque. Aucun courage.
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  galinette24 , 26 août 2014 @ 12 h 36 min

  Benjamin un pauvre type insipide ! pas de quoi s’ étaler sur le sujet ! il m’a écoeuré ( entre autre ) avec la reprise du chant des partisans ! je vais lui faire bouffer le corbeau noir dans la plaine ! pov’naze !
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  Papé , 26 août 2014 @ 12 h 50 min

  Bravo Alainpsy !

  Votre commentaire est bien envoyé !
  J’aime beaucoup la conclusion :
  “gentil chanteur “indigent dont l’envergure
  de la pensée est inversement proportionnelle
  à l’idée qu’il en a ! !
  Je pense que ce commentaire est valable pour
  nombre ” d’ Artistes ” , politiciens , journalistes etc …
  Cela dit , Benjamin Biolay ? c’est qui ce merdeux ?

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