Par Charles Chaleyat
Il était temps : le Vatican a réagi face à la vague d’exactions innommables des jihadistes du Moyen Orient ! Le cardinal Tauran, président du Conseil pontifical pour le dialogue inter-religieux depuis 2007, mais SURTOUT, l’évêque des autres religions, a fulminé. Excusez du peu : ça gronde et ça dénonce, ça décrit tout et le reste… L’on a envie de dire à son Eminence-collabo, surtout, n’envoyez pas vos divisions blindées, celles que Staline redoutait entre autres et qui l’on finalement abattu. Il faut dialoguer et non se battre ou même résister.
Rassurons-nous, en continuant de lire sa déclaration..
D’abord, aucune religion n’est en cause car aucune ne justifie de telles violences barbares… Ensuite juifs, chiites, chrétiens, sunnites et yazidis ont vécu paisiblement ensemble depuis des siècles avec des hauts et des bas (Quels bas, Svp ?). N’y aurai-il pas eu quelques massacres de chrétiens lors de la conquête arabe, (Arméniens, Syriaques, orthodoxes et autres confondus), puis turque (et tout récemment au XXè siècle contre les Arméniens et les Grecs) ?
Erreurs funestes diriez-vous et que le dialogue – celui que vous menez depuis si longtemps et qui a si bien marché au Moyen Orient (pour les chrétiens, peut-être ?) va effacer. Enfin, vous tendez la joue, en opposant à ces furieux féroces que la violence se vainc par la paix.
Excusez le catholique que je suis mais, si j’avais l’âge d’être efficace, je prendrais les armes, au nom de la guerre de défense juste et d’autant plus juste que vous mentez sur la religion musulmane dont le texte sacré intouchable regorge d’appels au meurtre, au pillage, au viol et à l’esclavage des non-croyants (les associateurs)*. Si je pense que nombre de musulmans ne sont point de ces violents, je me dois de leur montrer ce qu’il y a d’inacceptable dans leur religion** et je me dois de combattre cette minorité qui dit les représenter et qui comme toutes les minorités agissantes dans l’histoire peut tout à fait réussir, embrigader par la peur ses fidèles et nous conduire à un nouvel esclavage.