Les étranges préoccupations de Rue89 Lyon

Eric Martin
25 juillet 2013
Latest Update: 17 octobre 2017 17 h 29 min
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“Le fist-fucking est-il bon pour la santé ?” s’interroge très sérieusement Rue89 Lyon dans un article publié en partenariat avec le journal gay lyonnais Hétéroclite. On y apprend, sans rire, que “avant chaque session, une petite manucure s’impose au fisteur qui se doit d’avoir des ongles courts et limés” et que son partenaire “n’a pas d’autre choix que de renifler du poppers ou de consommer d’autres drogues sédatives ou analgésiques pour mieux supporter la douleur et faire tomber les barrières mentales.” De quoi confirmer les (soi-disant) clichés les plus dégueulasses sur la communauté gay… et la déconnexion complète des journalistes vis-à-vis des Français et de leur quotidien.

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Diex Aïe ! , 26 juillet 2013 @ 12 h 44 min
Bande de tarés!!! Finalement, je suis favorable à l’euthanasie pour eux…
jean bombers , 26 juillet 2013 @ 12 h 59 min
Et ils veulent donner des enfants a ces pervers…

Ils sont vraiments malades. Les rares homos que j’ai du frequente etaient dans ce genre, a se venter de coucher avec des inconnus dans des toilettes de gares …
Câlinou , 26 juillet 2013 @ 13 h 54 min
@ Monhugo.
Oui, si on a des chaises avec des pieds en bois.

@ Doseikekkon,
Je n’ai pas été clair : ce n’étaient pas des cyclistes sans selle, mais des homosexuels qui faisaient ça en l’absence de pote.

@Jean 59, plus bas,
Oui, mais ma femme les voyait tout de même passer.
bagatelle , 26 juillet 2013 @ 15 h 36 min
Beeeeurk!
Quelle imagination dans la perversion.
Daniel , 26 juillet 2013 @ 15 h 56 min
C’est le symptôme d’une presse en pleine décadence.

Devenir immonde pour faire de l’audimat, audimat perdu faute d’absence de journalisme engagé pour la vérité….

Bref, l’auteur de cet article, et son rédacteur en chef sont de vraies merdes , leur délires scatologiques nous le prouve.
monhugo , 26 juillet 2013 @ 16 h 34 min
Les pudeurs de chaisière, franchement…. Pour rester dans l’article d’ameublement (voir certains “posts”..). Il y a plus de 500 “paraphilies” recensées, allant de l’urophilie (ou ondinisme, ou “jeu de pisse”) à l’émétophilie (excitation sexuelle concernant le vomi) ou au partialisme (par exemple le fétichisme du pied – le pied humain, il va sans dire..), ou encore la clystérophilie (ou klismaphilie – l’érotisme par le lavement), ou la dendrophilie (“l’amour”, très particulier, des arbres)…. Les nécrophiles, zoophiles, sadiques et autres pédophiles sont des “paraphiles”. L’homosexualité (entre adultes consentants) a longtemps été répertoriée comme “paraphilie” par le DSM. L’importance numérique des “adeptes” a fait évoluer les choses, grâce à un lobbying très actif, et puissamment financé…. Même les pratiques sexuelles les plus “originales” peuvent être licites. En droit français positif (droit pénal), la “summa divisio” du permis/interdit est double : âge et consentement, d’où la formule habituelle “entres adultes consentants”, qui rend illicites et pénalement répréhensibles uniquement la pédophilie (âge – consentement éclairé impossible), la zoophilie (consentement impossible) et la nécrophilie (idem, plus respect dû aux dépouilles mortelles), et bien sûr toutes les formes d’agressions sexuelles et violences en la matière. Encore et toujours la même chose : les anciennes “perversions” ou maladies mentales qu’étaient les homosexualités, licites aujourd’hui, n’ont aucune qualité à donner des droits aux adeptes en matière CIVILE. Le droit civil du mariage, la filiation, ont été dénaturés par la loi de la Taupe (avant qu’étendue d’ailleurs de manière imminente dans le domaine de la santé publique – stérilité “sociale”, nouvelle strate dans l’artificialité institutionnalisée). Dénaturés, parce que contaminés par une licéité strictement pénale, et en aucun cas profitable à la collectivité.
Le curseur , 26 juillet 2013 @ 18 h 38 min
Une des conséquences, à terme, de ce genre de pratique est l’incontinence anale….L’horreur !