Pierre Cassen revient sur de curieuses décisions du CSA, qu’on ne peut que qualifier de très partisanes. Il explique le fonctionnement de cette structure, son idéologie, et surtout les avantages plus que conséquents de son président, de ses six membres, et de ses 300 salariés. Il démontre combien cette structure est devenue une police politique au service du pouvoir et de l’idéologie multiculturelle dominante.