Maryse Wolinski s’interroge sur l’attentat contre Charlie Hebdo

50 Comments

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  alain , 25 mai 2015 @ 16 h 05 min

  donc des anti-cathos rabbiques se réunissent pour manger une galette des rois et se font flinguer par des musulmans rabbiques
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  eric-p , 25 mai 2015 @ 16 h 08 min

  Qu’elle poursuive sa petite enquête !

  En politique,le pire n’est jamais certain.
  On a déjà vu ça avec le fameux suicide de Beregovoy (Même TVbolcho a émis des doutes sur
  “l’authenticité” du suicide de Beregovoy, c’est dire !)…
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  Mengelle Chantal , 25 mai 2015 @ 16 h 16 min

  Vous pourriez aussi vérifier la véracité de ce qui suit:
  des visites d’étudiants ont été annulées in extremis la veille de l’attentat.
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  lucifer , 25 mai 2015 @ 16 h 20 min

  Affaire à suivre…..
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  olivier84 , 25 mai 2015 @ 16 h 26 min

  Attention cependant à la manipulation. Il est tentant en effet quand on commet un attentat de le faire fructifier en laissant planer le doute dans la population victime que les faits sont peut être l’oeuvre de ses propres gouvernants. C’est le basique de la guerre psychologique qu’ont très bien assimilés nos ennemis enturbanés. On a bien vu en effet le délirium post 11 septembre sur certaines populations facilement influençables
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  eric-p , 25 mai 2015 @ 16 h 29 min

  Oui effectivement, vous êtes plus perspicace que moi !!!

  Les bouffeurs de curé mangeant une galette des rois, ça ne manque pas de sel…
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  André , 25 mai 2015 @ 16 h 30 min

  “L’attentat a été commis un jour où tout le monde ou presque était réuni à la rédaction : ça n’arrive jamais mais là,…”l==> Excellent. Donc une taupe, un informateur, un infiltré ou peut être un traître……….

  “l’acte de décès de mon mari a été signé à 11h30 alors que les frères Kouachi sont arrivés à Charlie Hebdo à 11h33. J’ai plein de questions à poser au juge d’instruction dans le cadre de ma contre-enquête….” l==> C’est dramatique, mais je fus obligé de pouffer parce que j’ai connu une histoire identique en 1973. Si je n’étais psychologue et avoir le pouvoir de deviner la suite je me faisais assassiner.
  Avec un juge d’instruction du nom de Gabriel des Pomeys Anselme:
  Gabriel- Ce n’est pas cette réponse que je veux.
  Moi: — Faudra vous contentez de celle-là je n’en ai pas d’autre en roue de secours.
  Gabriel: — Assez. Il suffit. Vous n’êtes pas au théâtre, ici. Je suis juge d’instruction, j’instruis
  Moi:–Instruisez-vous qui vous empêche de vous instruire
  …………..
  Gabriel: Signez
  Moi: Je ne signe pas ce torchon…
  Gabriel: Je n’ai pas besoin de votre signature la mienne suffira
  ……………….
  Je décèlerai le piège le piège que le procureur Richon avait ourdi un plan machiavélique parce que j’avais réclamé une audience publique en cours d’assise. Il avait compris que j’allais le faire ramper comme une limace.
  Ayant flairé le piège du contrat qui pesais sur ma tête j’ai envoyé du courrier partout,car il n’y avait pas internet. J’ai également compris qu’il n’y avait aucun patriotisme et aucune solidarité française. Alors que je m’étais réfugié à l’étranger, ce sont des arabes du consulat d’Alger qui m’ont sauvé la vie. Ils ont pris rendez-vous avec le Pompidou et en le secouant, ce Pompidou s’est décidé de demander une enquête administrative…….
  En tout cas mon amie Gabrielle qui croyait en la justice français fut assassiner pour lui faire fermer sa grande gueule:
  http://france.libre1.overblog.com/a-mon-amie-gabrielle

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