Café Society

«La vie est une comédie écrite par un auteur sadique». Woody Allen a toujours le sens de la formule. Pour Café Society, son quarante-septième long-métrage, le réalisateur new-yorkais s’est choisi Jesse Eisenberg comme alter ego, pour exprimer sa fascination pour l’industrie hollywoodienne des années 1930.
Après Midnight in Paris (2011) et Magic in the Moonlight (2014), Woody Allen replonge dans le passé pour en extraire paillettes et facéties, comme le laisse voir la première bande-annonce dévoilée cette semaine.
Café Society s’immisce au cœur de la nébuleuse hollywoodienne en suivant les traces de Bobby (Jesse Eisenberg), qui débarque sur les hauteurs de Los Angeles afin d’y travailler en tant que coursier auprès de son oncle, agent de stars (Steve Carrell). C’est la porte d’entrée vers l’effervescence du «Café Society», un club new-yorkais très prisé où se retrouvaient notamment stars et mécènes à l’époque, de même que les derniers talents du jazz, dont la bande-son inonde d’ailleurs ce nouveau long-métrage.

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