https://www.youtube.com/watch?v=LhByKRHQfb4
Docteur Meklat, Mister Deschamp, la chute d’une icône! Quand l’icône des banlieues montre son vrai visage. Le “rebelle” du système Mehdi Meklat, journaliste pour le site d’information Bondy Blog, s’est fait prendre la main dans le tweet. L’individu a été rattrapé par son passé : tweets anti-français, attaque contre les homosexuels et les juifs, le trublion banlieusard était finalement bien loin de l’image qu’on lui prêtait. Des soutiens sont venus à son secours : Pascale Clark, Christiane Taubira, Claude Askolovitch…. Quand une icône des banlieues tombe, c’est la machine médiatico-bobo qui s’enraye.
« Faisons un cauchemar ensemble, imaginons que la pensée dominante est désormais détenue par les aboyeurs d’aujourd’hui, ceux qui tirent gloire d’avoir un prénom français […], les trumpistes casaniers du dimanche… » c’est le lancement ubuesque de l’entretien de Gauthier Rybinsky sur France 24. France 24, la chaine censée représenter la France à l’étranger.
Sur France Inter, Richard Ferrand, secrétaire général du mouvement En marche accuse Russia Today (RT) et Sputnik News d’avoir relayé de fausses informations sur Emmanuel Macron. Manque de chance, la source de ces informations relayées n’était autre que le site « Le Vent se lève », un site d’extrême gauche qui combat la réinformation.
« Trump invente un attentat en Suède ! » c’est le titre du journal le Monde du dimanche 19 février. Le hic ? Le président américain n’a pas prononcé le mot attentat dans son discours. Quand les médias font du « fake news » et inventent l’utilisation d’un mot pour servir leur propagande.
Marine Le Pen refuse de se voiler au Liban ? La presse condamne le geste : à Rome fait comme les Romains. Michèle Obama refuse de se voiler en Arabie Saoudite ? Approbation générale de la presse. C’est la triste illustration du deux poids, deux mesures.
Affaire Théo : les médias s’emballent encore et toujours. Pour les médias, le viol est le fait incriminé. Une presse qui reste aveugle sur le rapport de l’IGPN (Inspection Générale de la Police Nationale) qui qualifie l’acte de « violence volontaire », conclusion du constat évident « du caractère non intentionnel du geste du fonctionnaire ».
L’affaire Théo cache l’acte courageux de Marin, un jeune Lyonnais battu pour avoir voulu défendre un couple qui s’embrassait. Marin en sort handicapé après 6 mois de coma.