Guillaume Roquette : “Najat Vallaud-Belkacem est une femme dangereuse”

Ce 21 février, Guillaume Roquette, le directeur de la rédaction du Figaro Magazine, et Nicolas Domenach, directeur adjoint de la rédaction de Marianne s’affrontent dans “Ça se dispute” (I>télé) sur les grands thèmes polémiques de la semaine. Le débat est animé par Léa Salamé.

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22 Comments

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  • Dactary , 28 février 2014 @ 15 h 33 min

    OUAW tous ces commentaires précédents viennent du même courant de pensée ??? aucune contradiction, et cela me dérange Cette personne NVB que vous aimeriez clouer au pilori a beaucoup de qualités et pas que des défauts que vous semblez mettre seulement en avant, nous sommes à l ère de la maison qui peut être commandée à distance donc une fulgurante poussée technologique depuis la dernière guerre et il est déplorable de constater que l homme n évolue pas. Son comportement : sa culture de la haine, la défiance, la peur de l autre, sont des armes aussi destructrices que les armes conventionnelles comment voulez vous que ce monde soit meilleur? si nous transmettons à nos enfants un tel héritage, vous trouvez les jeunes violents et irrespectueux? en vous lisant on comprends pourquoi, et je suis Français de par ma lignée depuis plus de 7 siècles.

  • Gilles , 28 février 2014 @ 16 h 03 min

    Bonjour,
    “qui délire comme vous!”…imaginez une personne honnête proférer ces paroles à son interlocuteur de gauche, intégrant donc tous les gens de gauche?. Comment ce sectaire nanti peut-il encore être, grassement, payé pour éructer?
    Gilles

  • Tarantik Yves , 28 février 2014 @ 16 h 20 min

    Nicolas Domenach ou le triomphe de la bonne foi !
    Si la gauche n’existait pas Nicolas saurait l’inventer, il nous manquerait le mensonge, l’idiotie congénitale, et une arme de destruction massive de la Société !
    Aussi dangereux que la khmère rose.
    A quand la création d’un Politburo place Beauveau ?

  • Jose LEDIRE , 28 février 2014 @ 19 h 05 min

    Et moi, je suis Gaulois depuis plus de 5.000 ans ! (Après, je ne sais plus !)

  • Nono , 1 mars 2014 @ 11 h 03 min

    Bonjour, salamalaykoum,
    Je commence par cette phrase qui signifie “que la paix soit sur vous”
    Je suis marocain marié avec une française depuis + de 23ans, 3 enfants
    Chef d’entreprise avec 5 salaries, je suis musulman pratiquant et je n’
    Adhéré pas au message de Mme Belkassem donc je ne perd pas de
    Temps a propager sa pensé et préfér celle de la famille, homme + femme =
    Enfants c’est ça la vie!

  • Aliboron , 14 mars 2014 @ 9 h 19 min

    Toute la problématique de Vallaud-Belkacem se résume à une jalousie viscérale des hommes et les féminises avec elle; elles en crèvent! Leur seule obsession: émasculer la société française.
    Maintenant qu’elles ont infiltré les rouages du pouvoir, elles disposent des leviers pour inonder la France de leur rhétorique bien-pensante, distillant dans les médias où elles sont présentes en masse, leur discours propagandiste communautariste; n’importe quelle journaliste, artiste, ou présentatrice d’émission même les plus médiocres (Patricia Martin, Noëlle Breham), se permet des remarques apologétiques du féminisme et personne ne trouve à y redire. On imagine ce qu’entrainerait une attitude inverse.
    “La femme” est devenu incriticable et la complaisance pour toute ses actions est l’attitude commune, faite d’autocensure benoîte et de révérence pompeuse.
    La vérité est que ces femmes sont des êtres humains ordinaires et qu’il n’y a rien de spécialement bon à attendre d’elles; il suffit de les voir intervenir sur les plateaux télé ou dans les radios, elles ne font que singer précisément ce qu’elles ont toujours déploré chez les hommes: la soif de pouvoir, la quête de notoriété, la recherche de visibilité. Elles le font seulement à la façon féminine, avec mièvrerie, affectation et mauvaise foi.
    Malgré leur prose lénifiante, les féministes sont autocentrées, égoïstes, hypocrites, truqueuses par la forme et la distorsion du propos; tant il est vrai qu’elles ont tout compris du bénéfice qu’on peut escompter dans une société pseudo-humaniste, d’une posture réputée vertueuse. Elles savent mieux que personne plaquer des mots doucereux sur des intentions sournoises et présenter les objectifs les plus insidieux comme un progrès sociétal. Des slogans comme “mariage pour tous”, “abolition de la prostitution”, sont des structures publicitaires qui ne disent rien de la manipulation des esprits qu’elles recèlent; leur but étant d’induire habilement, un positionnement réflexe forcé dans la direction souhaitée par leurs promotrices: sous couvert d’égalité et d’indignation, on immisce le virus de l’adoption généreuse pour les couples homo et la mise hors la loi du consommateur sexuel masculin. L’époque est à l’insidiosité en dentelle et jupons, au talibanisme à visage vertueux.
    Tant il est vrai que ce que veulent ces frustrées congénitales, n’est pas l’égalité, c’est la prééminence imposée par la loi!
    Une société qu’elles n’infecteraient pas, ne leur donnerait pas la joie de soumettre le mâle, éternel objet de leur ressentiment, par le droit. Après des millénaires de rumination mentale, elles en sont toujours au même point: comment noyer les désagréments d’une physiologie injuste (envisageraient-elles facilement de payer un homme pour qu’ils les désire?), les ravages de l’âge (elles vivent plus longtemps mais vieillissent plus vite que les hommes), leur statut d’objet de convoitise qu’elles ne parviennent pas à rentabiliser sans conséquences narcissiques (même une séductrice ne saura jamais si elle doit son pouvoir de captation à l’opportunité sexuelle qu’elle représente).
    Faute de pouvoir changer de nature, au moins espèrent-elles dénaturer le mâle. A-t-on déjà vu un homme faire le procès de la physiologie féminine en raison de ce qu’elle est? Les féministes ont ce projet.
    Une fois repérées, les Belkacem archétypales sont à combattre avec ténacité dans la société et à fuir avec application dans le privé. Elles sont la nouvelle forme de cancer de nos “modernes” sociétés qui font la part belle aux faux-semblants, à la règle légale réformatrice des mentalités, à la romance idéologique, à l’exhibitionnisme vertueux. Il suffit d’entendre ces voix dégoulinantes d’afféterie onctueuse à la mode sur les radios pour comprendre que femme on est, femme on reste: faire la petite fille gentille, la courageuse méritoire, la travailleuse appliquée, la première de la classe tellement mignonne, leur vient très naturellement, elles n’ont pas à se forcer. Et tout ce spectacle affligeant de supposées redresseuses de torts est juste destiné à camoufler leur intention inavouable: prendre la place de ceux qu’elles envient maladivement sans jamais l’espoir de les atteindre
    La femme n’est hélas pas l’avenir de l’Homme, les plus visibles d’entre elles n’en sont que son triste présent.

  • Saménèrve , 29 juin 2014 @ 11 h 24 min

    Quand on l’entend, c’est ” la belle qui s’aime” , celle qui s’écoute parler, qui ne réponds pas précisément aux questions. Bref, dans ce conglomérat de prétentieux, d’arrogants aux résultats pitoyables c’est probablement la cheftaine des nombrilistes. A force de se le regarder elle finira par devenir voutée et bossue. Retournez sur les bancs de la modestie et refaite votre éducation avant de vouloir corriger celle des autres.

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