Les véritables raisons des policiers en colère : l’intifada française !

Communiqué. “La colère des policiers est incompréhensible pour le Gouvernement qui estime que ce mécontentement réside uniquement dans leur épuisement en raison de leurs multiples engagements en raison de l’Etat d’urgence.

Cet aveuglement, total et dramatique, s’inscrit dans l’idéologie d’un gouvernement pétri de principes décalés par rapport aux réalités du terrain.

La réalité est d’une grande simplicité : nos policiers font face à une véritable INTIFIDA dans les banlieues et au lieu de le reconnaître et d’agir en conséquence, le Gouvernement se gargarise « d’Etat de droit » comme si ce mot valise pouvait être une réponse à la situation de guérilla qui se développe dans nombre de quartiers. Pire « l’Etat de droit » est perçu comme synonyme d’impuissance de la part de l’exécutif car il renvoie à l’autorité judiciaire qui n’apporte pas les sanctions à la hauteur des défis.

Chaque jour les pompiers sont caillassés tout comme les policiers qui sont régulièrement la cible d’armes à feu ou de cocktails molotov.

Il n’est guère étonnant que les policiers en aient assez d’être des cibles sans défense et exigent légitiment d’avoir les moyens de faire face et de riposter car ils sont bien doublement en état de légitime défense : en premier lieu, ces hommes ou ces femmes sont agressées en tant que personnes physiques et, en second lieu, ils sont agressés en tant que représentants de l’Etat !

Dans les deux cas de figure ce n’est pas acceptable, ils doivent avoir le droit de riposter sur le champ !

Cette situation illustre tout simplement la faillite de l’Etat et surtout du Gouvernement. Elle ne peut plus durer sauf à conduire la France à la guerre civile. Elle n’est plus tolérable et commande une politique forte de maintien de l’ordre, même par l’emploi de la force armée.

Le reste n’est que lâcheté coupable qui engendrera les pires troubles, sachons-le !”

> Député de la nation et maire de Maisons-Laffitte, Jacques Myard préside le Cercle Nation et République.

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Tonio , 24 octobre 2016 @ 15 h 54 min
Ceux qui, dans ou hors du gvt. sont les plus blâmables ce sont les membre de la communauté israélite et le criff; au lieu de se battre à côté des forces d’un ordre impuissant, ils se terrent, se barricadent, commémorent à qui mieux mieux en attendant que d’autres fassent et aient fait le “le sale boulot”.
Et pourquoi ni Sarkozy, ni Hollande ne réagissent vigoureusement contre ces intifadistes à kalach ? Parce que derrière eux se cachent les milliards du Saoudien et du Qatari.
Que celui qui peut prouver le contraire s’exprime…
Marcus , 24 octobre 2016 @ 16 h 13 min
Entièrement d’accord avec l’article. Le prochain chef d’état courageux capable de sauver la France devra autoriser s’il le faut l’utilisation des armes par les policiers, quitte à éliminer quelques islamo-racailles, ce qui sera finalement une économie de place de prison. Il faudra également arrêter tout journaliste qui hurlera à la bavure policière, le mépris des droits de l’homme, et toutes les conneries dans ce genre…
On ne combat pas la violence avec des bisounours. Clémenceau l’avait compris, De Gaulle l’avait compris, Poutine l’a compris. Ces gens là étaient (ou sont) des hommes. Hollande et sa clique sont des larves.
Pascal , 24 octobre 2016 @ 17 h 10 min
Article de Jacques Bompard signé Jacques Myard ?
Pascal , 24 octobre 2016 @ 17 h 44 min
Texte juste si l’on excepte l’emploi inapproprié de deux mots, « guérilla » et « guerre civile ».

Une guérilla ne s’attaque pas aux civils et est une guerre de harcèlement asymétrique du faible au fort. Or les colons s’attaquent à la fois aux populations civiles et aux policiers et ne sont pas faibles, ce sont eux qui sont pour le moment les plus forts.

Il ne s’agit pas d’une guerre civile. Ces colons ne sont pas nos compatriotes même s’ils sont français de jure (de papier). Il s’agit donc d’une guerre de colonisation et le jour où enfin on ne se laissera plus faire il y aura en réponse une guerre de décolonisation.

« Guérilla » est un mot qui a une charge positive comparable à « Rebelles » attribué aux salopards d’islamistes en Syrie, lesquels n’ont rien de faible soutenus et armés qu’ils sont par les EU, la Turquie et les pétromonarchies. « Guerre civile » est un mot qui appartient à la sémantique de propagande de l’ennemi et qui a pour fonction de renvoyer les belligérants dos à dos en estompant à la fois l’aspect invasion extérieure et la trahison des collabos.
Pierre , 25 octobre 2016 @ 10 h 36 min
Mais que fait donc Jacques Myard avec les LR ?
Pierre , 25 octobre 2016 @ 10 h 37 min
L’attitude de Jacques Myard est incompréhensible, il parle comme le FN et joue dans les rangs du LR, où est il vraiment ?
aixois , 25 octobre 2016 @ 11 h 22 min
@Pascal
Bonne question “Article de Jacques Bompard signé Jacques Myard ?”
C’est de la réccup?