Accusé de propager des fake news, un compte ouvertement parodique est dans le collimateur de plusieurs députés LREM qui souhaitent sa suppression de Twitter.
«Compte malhonnête», «officine partisane» ou encore diffuseur de «fake news» : le compte Twitter Le journal de l’Elysée n’est pas près de trouver grâce auprès de certains élus La République en marche (LREM). Au cours de ces derniers jours, nombre d’entre eux ont exprimé leur indignation face aux publications parodiques dont ils ont parfois fait l’objet.
«Depuis des semaines, un compte prétendument parodique inonde Twitter faisant croire à des déclarations que des membres d’En marche auraient prononcées. Avec captures d’écran de médias à l’appui… Ces tweets circulent, polluent, et nous prêtent des propos mensongers. Stop», s’indigne ainsi la député des Yvelines Aurore Bergé, à la tête de la fronde.