Les haineux du système!

Dans Présent du 14 septembre, Caroline Parmentier a allumé quelques aigris du système dont l’aigritude, soit dit en passant, à commencer par cette tête à claques de Laurent Ruquier, relève carrément de la haine. A l’approche de la présidentielle le système, déjà bien verrouillé gauchard, met ses télés et ses radios en ordre de bataille. Un exemple ? La nouvelle émission de France 2 (cette chaîne que l’on paie pour qu’elle nous insulte), « L’émission politique », avec David Pujadas, franc comme un âne qui recule, Léa Salamé, Karim Rissouli et François Lenglet. Mais aussi, pour clôturer l’émission, un billet d’humeur de trois minutes confié à une certaine Charline Vanhoenacker.

Acolyte de Léa Salamé dans la matinale de France Inter, radio militante de gauche où officie la très haineuse Sophie Aram, cette Charline Vanoenacker est à l’objectivité journalistique ce que je suis à la danse classique. Elle explique d’ailleurs : « J’ai toujours refusé de partager un plateau en direct avec un représentant du Front national. C’est une tradition (sic) journaliste belge, et plus précisément wallonne : on ne donne pas la parole (resic) à l’extrême droite en direct. Il va falloir que je réfléchisse à ce que je vais faire le jour où Marine Le Pen sera invitée. »

On lui suggère fermement d’aller, ce jour-là, se faire voir en Belgique, du côté des zones ethniques de Bruxelles, et de s’entremettre – et plus car affinités – en direct avec les salafistes du coin et leurs moukères enburkanibées.

On attend par ailleurs de voir – sans illusions – comment le CSA va réagir aux déclarations provocatoires de cette « journaliste »… belge qui prône que l’on ne donne pas la parole en direct aux représentants du premier parti de France !

On pourrait encore citer, outre le bouffi Calvi, Yann Barthès, transfuge de Canal Plus, petit mec baraqué comme une crevette, qui officie désormais sur TMC. Sa première invitée a été Christiane Taubira qui, rayon haine, est devenue sa propre caricature.

Radios et télés verrouillées, donc. Mais la presse écrite n’est pas en reste. A commencer par Le Parisien qui, tant dans ses pages politiques que culturelles, est un des vecteurs de la haine contre la droite nationale.

Récemment, on y a eu droit à l’interview croisée de deux comédiens de séries Z, Bruno Solo et Yvan Le Bolloc’h, programmés au Théâtre de la Madeleine dans L’Heureux Elu. Pour parler de la pièce ? Un peu. Mais surtout pour leur permettre de déverser leur fiel, eux qui sont d’extrême gauche, sur ce qu’ils appellent « l’extrême droite » (1).

« Nous, dit Le Bolloc’h, on se repère à l’odeur. » Et ça ne sent pas bon…

(1) Ils lèchent en revanche les escarpins de la pasionaria de l’Hôtel de Ville de Paris, Anne Hidalgo. Bruno Solo trouve épatant (combien en a-t-il hébergé chez lui ?) son « accueil des migrants ».

Alain Sanders – Présent

Related Articles