résume Le Courrier international :
Le nouveau texte – qui devrait être présenté au Congrès en juillet – n’autorise l’avortement qu’en cas de viol ou de risque grave pour la santé physique ou psychologique de la mère. Toutefois, selon El País, “le gouvernement va inclure les malformations fœtales dans les motifs légaux permettant d’avorter”.
Pas question pour autant, souligne le quotidien, d’écrire noir sur blanc dans le texte de loi que les anomalies fœtales sont une raison valable pour interrompre une grossesse, “car le gouvernement se refuse à accepter ce concept”, explique le quotidien. “Les malformations du fœtus devraient être considérées, a priori, comme un facteur de risque psychologique pour la mère.” La femme enceinte n’aurait donc plus – comme l’exige le projet de loi initial – à prouver devant deux psychiatres le danger potentiel de la grossesse pour sa santé psychique, afin de pouvoir avorter.
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