L’étude “met en évidence une augmentation de 20% du risque de saignements menstruels abondants ayant nécessité une prise en charge à l’hôpital dans un délai de 1 à 3 mois” après avoir pour la première fois reçu un vaccin Pfizer ou Moderna, résume dans un communiqué l’organisation Epi-Phare, qui associe l’autorité du médicament (ANSM) et la Sécurité sociale :
« Complotistes » : 1 . Conformistes : zéro https://t.co/bonuhyR4zJ
— Jean-Yves Le Gallou (@jylgallou) January 24, 2024