La droite française attend (désespérément) son Johnson ou son Trump…

Mais il ne vient pas :

Related Articles

2 Comments

Avarage Rating:
  • 0 / 10
  • Droal , 27 décembre 2019 @ 16 h 02 min

    On ne trouve personne parce qu’il n’y a personne.

    Et pour quoi faire ?

    Le monde moderne est un monde immobile, un monde de fer et de métaux, aussi ancien que le vieux Serpent qui a bien grandi depuis la Genèse. On le retrouve maintenant dans l’Apocalypse. Il se fait appeler Monsieur. Monsieur Dragon.

    Ceux qui portent un gilet de bande d’arrêt d’urgence n’ont jamais voulu être représenté parce qu’ils savent que la bande à Macron tire à balle réelle dans les yeux des voyants qui ne veulent plus mourir à partir du 20 du mois.

    La mondialisation paradisiaque, y faut pas que ça change & c’est pour ça que le ci-devant Mac Ron reste bien droit dans ses Rothschild.

  • Droal , 27 décembre 2019 @ 16 h 39 min

    De plus, y faut pas croire que l’€urope va durer encore longtemps.

    L’Union €uropéenne considère que ses pères fondateurs, qui ont mis au point cette machine à cash, sont :

    l’Allemand Konrad Adenauer (1876-1967),
    le Luxembourgeois Joseph Bech (1887-1975)
    l’Hollandais Johan Willem Beyen (1897-1976)
    l’Anglais Winston Churchill (1874-1965)
    l’Italien Alcide De Gasperi (1881-1954)
    l’Allemand Walter Hallstein (1901-1982)
    l’Italien Sicco Mansholt (1908-1995)
    le Français Jean Monnet (1888-1979)
    le Français Robert Schuman (1886-1963)
    le Belge Paul-Henri Spaak (1899-1972)
    l’Italien Altiero Spinelli (1907-1986)

    De Gaulle brille par son absence. Il est vrai qu’il est tombé dans le plus vertical oubli et on se demande même s’il a jamais existé.

    Le 16 mai 1962, à la suite de la prise de position du Général sur l’Europe, les cinq ministres M.R.P. du gouvernement démissionnent (Pierre Pflimlin, Joseph Fontanet, Robert Buron, Maurice Schuman, Paul bacon).

    Et François Mauriac de commenter : « Je ne crois pas que rien lui (De Gaulle) inspire plus de mépris que ce besoin, que cette idée fixe chez certains Français de noyer la France devenue faible et petite, dans un grand ensemble (l’€urope) où elle deviendrait en quelque sorte invisible. »

    C’est toute la différence entre un homme providentiel et des zozos.

Comments are closed.