Par Edmond Furax
C’est le titre d’un film d’Ab Al Malik (avec Marc Zinga, Sabrina Ouazani, Larouci Didi…) que les contribuables français viennent de sponsoriser en très grande partie!!!
Un très long spot de pub de 92 minutes (5520 secondes car dans la pub on compte souvent en secondes) qui fait la promo de l’islam, lequel fut projeté en avant-première le 3 novembre à Strasbourg, pour sortir sur grand écran avant Noël, soit le 10 décembre.
Ce film de propagande est coproduit par France 2 Cinéma, avec la participation de France 2, la Banque postale, la Région Alsace, la communauté urbaine de Strasbourg, le CNC et a bénéficié de plus de tous les montages subtils du cinéma subventionné… dont seuls les bénéficiaires et affidés connaissent les arcanes.
Cette apologie est une adaptation du livre éponyme d’Ab Al Malik, paru en 2004 chez Albin Michel, auquel nous cédons les guillemets pour ne trahir ni éditeur ni auteur: “il a connu tout ce qu’un fils d’immigrés, noir, pauvre, élevé par une mère seule avec six frères et soeurs, peut connaître de la délinquance des cités : vols et trafics en tous genres, argent facile, frime et rapports de force, sans oublier les proches tués par balles, morts d’overdose, ou qui ont sombré dans le fanatisme. Converti à l’islam – ou plutôt à cet islam obscurantiste qui sévit dans certaines banlieues -, il a parcouru les routes de France pour prêcher dans des mosquées de fortune. Abd al Malik avait tout pour entrer dans l’univers de « la haine ».”
Abd Al Malik est né à Paris en 1975, de parents congolais (père diplomate), catholiques pratiquants et s’appelait alors Régis Mayettte-Fikano. Vers 16 ans, il renie sa religion et prend le prénom de l’émir algérien Abd el-Kader, lequel, en 1839, appela à la Jjihad pour lutter contre les Français…
Si vous ne le savez déjà, Abdel Al Malik avant d’être réalisateur est un célèbre rappeur mais comme l’islam n’apprécie pas le rap, il s’est tourné vers un “autre” islam: le soufisme, lequel est selon le Larousse un ensemble de “règles et pratiques ascétiques et mystiques d’un ensemble d’écoles, de sectes et de confréries musulmanes.Dans l’histoire de l’islam, le soufisme s’est très tôt opposé à la casuistique des théologiens, mais il n’en respecte pas moins scrupuleusement la loi.”. Bref, exceptée la dimension “folklorisante” des derviches tourneurs, c’est de l’islam ni revu ni corrigé.
Abd El Malik est une personnalité honorée et décorée puisqu’il a déjà remporté quatre Victoires de la musique, dans la catégorie Musiques urbaines (rap, reggae, ragga, hip-hop, R’n’B, etc.), reçu le Prix de littérature politique Edgar-Faure pour La guerre des banlieues n’aura pas lieu et fut nommé en 2008 Chevalier des Arts et des Lettres par Christine Albanel, premier ministre de la Culture de Nicolas Sarkozy.
Alors que des jeunes réalisateurs talentueux n’obtiennent aucune aides publiques, sont marginalisés voire ostracisés et leur films peu ou pas diffusés, à l’instar de Cheyenne Caron avec son film L’apôtre, il faut dire qu’elle a eu le mauvais goût de choisir un sujet démodé et politiquement très incorrect, narrant un parcours inverse soit un musulman qui devient catholique…
Abdel Al Malik fut très généreusement subventionné de nos deniers, lesquels, malgré l’empressement de nos politiciens à procéder au Grand Remplacement, sont encore ceux de français majoritairement d’origine catholique voire totalement catholiques.
L’on comprend alors qu’Allah bénisse la France !